Lessolutions pour FAIT LA GAZELLE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres mots utiles. Outils Utiles . Wordle Mots Croisés Générateur d'Anagrammes Crée des mots avec les lettres que tu as à ta disposition Répondre Classement. Codycross; Définitions du Jour; Les plus recherchés. Mot Lié à L Alpinisme 7 Lettres Lame De
Chaque jour sur France Bleu Paris, Quentin Lhuissier vous donne rendez-vous pour vous faire redĂ©couvrir un des jolis coins d'Ăle-de-France. Nouvelle Ă©tape aujourdâhui Ă Paris. Le Tour d'Ăle-de-France, en partenariat avec Ecoutez notre podcast et retrouvez toutes les informations dont vous avez besoin juste ici ! Bienvenue au Parc Zoologique de Paris Pierre-Yves Bureau, directeur du Parc Zoologique de Paris © Radio France - Quentin Lhuissier Ce matin, Quentin vous emmĂšne dans les coulisses du Zoo de Paris ! il retrouve Pierre-Yves Bureau, directeur du Parc, qui raconte ce qui se passe au petit matin "tout le monde s'active dĂšs 8h et notamment les soigneurs animaliers commencent Ă prĂ©parer les animaux avant l'arrivĂ©e du public." Le Zoo est un endroit hors norme depuis 1934 avec 2500 animaux et 870 espĂšces vĂ©gĂ©tales sur 14 hectares ! Un lieu exceptionnel Ă dĂ©couvrir avec une programmation exclusive qui propose des activitĂ©s crĂ©atives, des balades thĂ©matiques autour de la photo et du dessin dans le cadre du "Rendez-vous sauvage d'Ă©tĂ© une nature fascinante" Ă ne pas louper dĂ©but septembre. Dans les coulisses du Zoo au petit matin Notre animateur poursuit sa dĂ©couverte des lieux insolites du zoo vers la clinique. Aujourd'hui Alexis LĂ©cu, directeur scientifique et vĂ©tĂ©rinaire, s'apprĂȘte Ă endormir la lionne Savannah probablement gestante, il nous raconte toute la procĂ©dure dans le podcast ! Alexis LĂ©cu, directeur scientifique et vĂ©tĂ©rinaire © Radio France - Quentin Lhuissier A cette heure matinale on a le parc pour soi et c'est ce que prĂ©fĂšre FrĂ©deric Geoffriau, jardinier au parc ! Les animaux se rĂ©veillent doucement et c'est un vĂ©ritable spectacle mais ils ne sont pas les seuls Ă ĂȘtre surprenants en ce lieu; les 870 espĂšces vĂ©gĂ©tales sont Ă©galement extraordinaires et participent Ă la magie du site ! FrĂ©dĂ©ric a soigneusement reconstituĂ© diffĂ©rentes biozones afin que les animaux s'y sentent comme chez eux. " Le but est de recrĂ©er une atmosphĂšre en fonction des enclos proposĂ©s avec certaines plantes emblĂ©matiques comme la cannelle Magellan qui fait partie intĂ©grante de la biozone de la Patagonie." Il nous confie ses secrets pour parvenir Ă faire pousser ses plantes du bout du monde Ă Paris, venez les entendre dans notre podcast ! FrĂ©dĂ©ric Geoffriau - jardinier de l'Ă©quipe Espace verts © Radio France - Quentin Lhuissier Les petites et grosses bĂȘtes n'auront plus de secrets pour vous ! Olivier Marquis, curateur des reptiles et amphibiens © Radio France - Quentin Lhuissier Quentin poursuit son expĂ©dition au pied du rocher du zoo, haut de 65 mĂštres, oĂč se trouve le vivarium ! Il y rejoint Olivier Marquis, curateur des reptiles et amphibiens. Loin d'en avoir peur, il les fascinĂ© par ces animaux et permet au public de s'en approcher et de mieux les connaĂźtre. Le plus grand serpent prĂ©sent au parc est l'Anaconda nous raconte Olivier " C'est un animal trĂšs impressionnant par son poids et sa taille faisant 30kg et mesurant 4 mĂštres, et elle n'a pas finis de grandir ! Nous avons Ă©galement une mygale gigantesque de la forĂȘt guyanaise faisant la taille d'une assiette, c'est la plus grosse espĂšce de mygale." Les petites bĂȘtes du vivarium © Radio France - Quentin Lhuissier Olivier nous conduit dans les coulisses du Vivarium, au cĆur du rocher oĂč il s'occupe des nouveaux nĂ©s et animaux en croissance. A l'intĂ©rieur on peut y entendre des centaines de grillons chantĂ©s qui servent de nourriture Ă tous les insectes. En poussant une petite porte Quentin y dĂ©couvre des bĂ©bĂ©s tortus d'eau et des petites grenouilles orange de Madagascar, une espĂšce en voie d'extinction amenĂ©e ici pour ĂȘtre Ă©tudiĂ©e et sauvĂ©e. Petites grenouilles de Madagascar © Radio France - Quentin Lhuissier Immersion dans la faune et la flore Africaine Geoffrey Fruleux - soigneur animalier de l'Ă©quipe animaliĂšre de la biozone de l'Afrique © Radio France - Quentin Lhuissier Pour finir l'expĂ©dition en beautĂ© Quentin rencontre Geoffrey Fruleux, soigneur animalier de la biozone de l'Afrique, qui nous explique comment il est possible de recrĂ©er un bout d'Afrique Ă Paris " De nombreux voyages ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s pour Ă©tudier la faune et la flore africaine. Par la suite nous avons fait venir des espĂšces qui vivent naturellement ensemble comme les girafes et les gazelles de Mhorr." Les girafes attirent toujours l'Ćil du visiteur et c'est l'occasion pour Quentin de demander Ă Geoffrey comment elles dorment ! "Il est trĂšs rare qu'elle se couchent car ĂȘtre debout est une fonction vitale pour survivre Ă l'attaque d'un prĂ©dateur ! Elles prĂ©fĂšrent somnoler sur leurs quatre pattes." La biozone africaine © Radio France - Quentin Lhuissier
Classementdes regroupements d'espĂšce Gazelle dorcas dont des animaux de la savane ont un niveau leur permettant de faire partie des meilleurs regroupements de Lionzer. JOUER: GESTION: COMMUNAUTĂ : FORUMS: S'IDENTIFIER: S'INSCRIRE
Pour les espĂšces d'amphibiens et de reptiles dont la liste est fixĂ©e ci-aprĂšs 1° Sont interdits, sur tout le territoire mĂ©tropolitain et en tout temps - la destruction ou l'enlĂšvement des Ćufs et des nids, la destruction, la mutilation, la capture ou l'enlĂšvement des animaux ;- la perturbation intentionnelle des animaux, pour autant que la perturbation remette en cause le bon accomplissement des cycles biologiques de l'espĂšce Sont interdites sur les parties du territoire mĂ©tropolitain oĂč l'espĂšce est prĂ©sente ainsi que dans l'aire de dĂ©placement naturel des noyaux de populations existants, la destruction, l'altĂ©ration ou la dĂ©gradation des sites de reproduction et des aires de repos des animaux. Ces interdictions s'appliquent aux Ă©lĂ©ments physiques ou biologiques rĂ©putĂ©s nĂ©cessaires Ă la reproduction ou au repos de l'espĂšce considĂ©rĂ©e, aussi longtemps qu'ils sont effectivement utilisĂ©s ou utilisables au cours des cycles successifs de reproduction ou de repos de cette espĂšce et pour autant que la destruction, l'altĂ©ration ou la dĂ©gradation remette en cause le bon accomplissement de ces cycles Sont interdits, sur tout le territoire national et en tout temps, la dĂ©tention, le transport, la naturalisation, le colportage, la mise en vente, la vente ou l'achat, l'utilisation, commerciale ou non, des spĂ©cimens prĂ©levĂ©s - dans le milieu naturel du territoire mĂ©tropolitain de la France, aprĂšs le 12 mai 1979 ;- dans le milieu naturel du territoire europĂ©en des autres Etats membres de l'Union europĂ©enne, aprĂšs la date d'entrĂ©e en vigueur de la directive du 21 mai 1992 - Alytes obstetricans Laurenti, 1768 Alyte accoucheur- Discoglossus montalentii Lanza, Nascetti, Capula & Bullini, 1984 Discoglosse corse- Discoglossus sardus Tschudi in Otth, 1837 Discoglosse sardeBombinatoridĂ©s - Bombina variegata Linnaeus, 1758 Sonneur Ă ventre jauneBufonidĂ©s - Bufotes viridis Laurenti, 1768 Crapaud vert- Epidalea calamita Laurenti, 1768 Crapaud calamiteHylidĂ©s - Hyla arborea Linnaeus, 1758 Rainette verte- Hyla meridionalis Boettger, 1874 Rainette mĂ©ridionale- Hyla molleri Bedriaga 1889 Rainette ibĂ©rique- Hyla sarda Betta, 1857 Rainette corsePĂ©lobatidĂ©s - Pelobates cultripes Cuvier, 1829 PĂ©lobate cultripĂšde- Pelobates fuscus Laurenti, 1768 PĂ©lobate brunPĂ©lodytidĂ©s - Pelodytes punctatus Daudin, 1803 PĂ©lodyte ponctuĂ©RanidĂ©s - Rana arvalis Nilsson, 1842 Grenouille des champs- Rana dalmatina Fitztinger in Bonaparte, 1838 Grenouille agile- Rana pyrenaica Serra-Cobo, 1993 Grenouille des PyrĂ©nĂ©es- Pelophylax kl. grafi Crochet, Dubois, Ohler & Tunner, 1995 Grenouille de Graf- Pelophylax lessonae Camerano, 1882 Grenouille de Lessona- Pelophylax perezi Seoane, 1885 Grenouille de PĂ©rezURODĂLESSalamandridĂ©s - Calotriton asper Al. DugĂšs, 1852 Calotriton des PyrĂ©nĂ©es- Euproctus montanus Savi, 1838 Euprocte de Corse- Salamandra atra Laurenti, 1768 Salamandre noire- Salamandra lanzai Nascetti, Andreone, Capula & Bullini, 1988 Salamandre de Lanza- Triturus cristatus Laurenti, 1768 Triton crĂȘtĂ©- Triturus marmoratus Latreille, 1800 Triton marbrĂ©PlĂ©thodontidĂ©s - Speleomantes strinatii Aellen, 1958 SpĂ©lerpĂšs de StrinatiREPTILESCHĂLONIENSĂmydidĂ©s - Emys orbicularis Linnaeus, 1758 Cistude d'EuropeGĂ©oĂ©mydidĂ©s - Mauremys leprosa Schweigger, 1812 Ămyde lĂ©preuseTestudinidĂ©s - Testudo hermanni Gmelin, 1789 Tortue d'HermannSAURIENSSphĂ©rodactylidĂ©s - Euleptes europaea GenĂ©, 1839 Eulepte d'EuropeLacertidĂ©s - Algyroides fitzingeri Wiegmann, 1834 AlgyroĂŻde de Fitzinger- Archaeolacerta bedriagae Camerano, 1885 LĂ©zard de Bedriaga- Iberolacerta aranica Arribas, 1993 LĂ©zard du Val d'Aran- Iberolacerta aurelioi Arribas, 1994 LĂ©zard d'Aurelio- Iberolacerta bonnali Lantz, 1927 LĂ©zard de Bonnal- Lacerta agilis Linnaeus, 1758 LĂ©zard des souches- Lacerta bilineata Daudin, 1802 LĂ©zard Ă deux raies, LĂ©zard vert occidental- Podarcis liolepis Boulenger, 1905 LĂ©zard catalan- Podarcis muralis Laurenti, 1768 LĂ©zard des murailles- Podarcis tiliguerta Gmelin, 1789 LĂ©zard tyrrhĂ©nien- Timon lepidus Daudin, 1802 LĂ©zard ocellĂ©SERPENTSColubridĂ©s - Coronella austriaca Laurenti, 1768 Coronelle lisse- Hierophis viridiflavus LacepĂšde, 1789 Couleuvre verte et jaune- Zamenis longissimus Laurenti, 1768 Couleuvre d'EsculapeNatricidĂ©s - Natrix astreptophora Seoane, 1884 Couleuvre astreptophore- Natrix helvetica LacepĂšde, 1789 Couleuvre helvĂ©tique, Couleuvre Ă collier- Natrix maura Linnaeus, 1758 Couleuvre vipĂ©rineVipĂ©ridĂ©s - Vipera aspis Linnaeus, 1758 VipĂšre aspic- Vipera berus Linnaeus, 1758 VipĂšre pĂ©liade- Vipera seoanei Lataste, 1879 VipĂšre de Seoane- Vipera ursinii Bonaparte, 1835 VipĂšre d'Orsini
EvĂ©nement: premiĂšre naissance dâun oryx algazelle Ă lâĂ©tat sauvage depuis 30 ans. Câest un Ă©vĂ©nement rare dont on ne peut que se fĂ©liciter : la premiĂšre naissance Ă lâĂ©tat sauvage dâun animal dĂ©clarĂ© officiellement comme Ă©teint. LâespĂšce en question, lâoryx algazelle, a disparu il y a 30 ans du Tchad, le dernier
L'Unesco a approuvĂ© la dĂ©signation de 11 nouvelles rĂ©serves de biosphĂšre dans 9 pays dont, pour la premiĂšre fois, la GĂ©orgie, le Tchad et la Zambie. Deux rĂ©serves de biosphĂšre existantes en Espagne ont Ă©galement Ă©tĂ© agrandies. Le rĂ©seau mondial des rĂ©serves de biosphĂšre compte 738 sites dans 134 pays avec ces nouvelles dĂ©signations. Depuis 51 ans, l'Unesco s'efforce de concilier l'activitĂ© humaine avec la conservation et l'utilisation durable de la biodiversitĂ© Ă travers son Programme sur l'Homme et la biosphĂšre MAB. Je suis ravie de voir trois nouveaux Ătats membres se joindre cette annĂ©e Ă ce rĂ©seau utile et puissant. GrĂące Ă ces nouvelles dĂ©signations, les rĂ©serves de biosphĂšres de l'Unesco couvrent dĂ©sormais une surface protĂ©gĂ©e de plus 1,3 million de kmÂČ Ă l'Ă©chelle mondiale », ainsi s'est exprimĂ©e Audrey Azoulay directrice gĂ©nĂ©rale de l' ajouts ont Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©s par le Conseil international de coordination, l'organe directeur du Programme sur l'Homme et la biosphĂšre MAB de l'Unesco composĂ© des reprĂ©sentants Ă©lus de 34 Ătats membres de l'Unesco. Le Conseil tient sa 34e session du 13 au 17 juin au siĂšge de l'Organisation, Ă Paris. Les rĂ©serves de biosphĂšre sont un pilier du mandat de l'Unesco en tant qu'agence scientifique des Nations sont au cĆur du travail de recherche et de sensibilisation de l'Unesco visant Ă encourager les pratiques innovantes en matiĂšre de dĂ©veloppement durable et Ă favoriser la comprĂ©hension, la valorisation et la sauvegarde de l'environnement vivant par les communautĂ©s et les Ătats membres de l' de biosphĂšre de la Sunshine Coast AustralieSituĂ©e dans le sud-est du Queensland, Ă proximitĂ© de Brisbane, en Australie, cette rĂ©gion prĂ©sente un littoral pittoresque, des dunes, des plages, de vastes cours d'eau et des zones humides, ainsi qu'une chaĂźne de montagnes dans l'arriĂšre-pays. Abritant deux groupes de PremiĂšres nations, les Kabi Kabi et Jinibara, la rĂ©serve de biosphĂšre maintient un environnement naturel trĂšs apprĂ©ciĂ© et une riche biodiversitĂ©, en particulier au sein des km2 de zones terrestres et marines protĂ©gĂ©es. Elle soutient Ă la fois des activitĂ©s Ă©conomiques traditionnelles et de pointe, notamment des secteurs alimentaires, agroalimentaires et touristiques vigoureux. La rĂ©gion accueille environ 8 millions de visiteurs par de biosphĂšre de Doumba-Rey CamerounQuatriĂšme rĂ©serve de biosphĂšre de ce pays d'Afrique centrale occidentale, la rĂ©serve de biosphĂšre de Doumba-Rey est surtout connue pour sa population d'oiseaux de plus de 100 espĂšces identifiĂ©es et sa flore exceptionnellement diversifiĂ©e. SituĂ©e dans la zone de transition entre savanes et forĂȘts, elle joue un rĂŽle important dans la sĂ©questration du carbone et accueille des espĂšces emblĂ©matiques, dont les Ă©lĂ©phants. La rĂ©serve de biosphĂšre compte une soixantaine de villages dont les tribus dominantes sont les Gbaya, Mboum et MbĂ©rĂ© qui sont de grands chasseurs. Par ailleurs, le site est exploitĂ© par les bergers peulhs et nomades pour les activitĂ©s pastorales, Ă l'instar de l'Ă©levage sĂ©dentaire et transhumant. En 2014, la rĂ©gion a accueilli plus de rĂ©fugiĂ©s fuyant les de biosphĂšre de Sena Oura TchadSituĂ©e prĂšs de la frontiĂšre avec le Cameroun, la rĂ©serve de biosphĂšre de Sena Oura est la premiĂšre rĂ©serve de biosphĂšre du Tchad. Elle couvre une surface totale de ha constituant les derniers vestiges intacts de la savane soudanaise du pays et abrite des Ă©lĂ©phants, des Ă©lands de Derby et des girafes. GrĂące Ă la profusion de terres fertiles et aux conditions agroclimatiques favorables, l'agriculture traditionnelle et l'Ă©levage du bĂ©tail en particulier assurent la subsistance de prĂšs de 90 % de la population. La sylviculture joue Ă©galement un rĂŽle important dans l'Ă©conomie locale, avec la production de produits trĂšs prisĂ©s comme le miel et l'huile de de biosphĂšre de Dedoplistskaro GĂ©orgieL'une des deux premiĂšres rĂ©serves de biosphĂšre du pays, Dedoplistskaro est caractĂ©risĂ©e par des zones reculĂ©es, vastes et peu peuplĂ©es autour du volcan de boue Takhti-Tepha, prĂšs de la frontiĂšre avec l'AzerbaĂŻdjan. Elle est considĂ©rĂ©e comme un haut lieu de la biodiversitĂ©, avec ses espĂšces de mammifĂšres 52, d'oiseaux 90 et de reptiles 30, dont les emblĂ©matiques lĂ©opards d'Afrique et gazelles Ă goitre. Sa steppe et ses semi-dĂ©serts ont traditionnellement permis l'Ă©levage et le pĂąturage. Les autoritĂ©s prĂ©voient de crĂ©er de nouvelles perspectives grĂące Ă des techniques agricoles durables et Ă l' de biosphĂšre des trois riviĂšres Alazani GĂ©orgieCette rĂ©serve de biosphĂšre englobe les bassins versants de la riviĂšre Alazani et de ses deux affluents, et comprend une mosaĂŻque de forĂȘts alpines et de plaines inondables, ainsi que des prairies alpines. Elle abrite plusieurs espĂšces emblĂ©matiques comme l'ours noir, le loup gris et le lynx, ainsi qu'une flore sur la liste rouge et des reliques de forĂȘts d'ifs. La partie sud de la rĂ©serve de biosphĂšre, plus peuplĂ©e, comporte de nombreux sites historiques et archĂ©ologiques ainsi que des forĂȘts, qui jouent un rĂŽle important dans la vie religieuse locale, car beaucoup sont considĂ©rĂ©s comme est la principale activitĂ© de la rĂ©gion et les communautĂ©s locales ont dĂ©veloppĂ© le systĂšme unique sopel-bosloba, qui permet la culture dans les zones montagneuses. La rĂ©serve de biosphĂšre vise Ă soutenir et revitaliser l'Ă©levage transhumant, y compris la race locale des moutons tushetians, et de promouvoir les visites touristiques de de biosphĂšre de BourabaĂŻ KazakhstanSituĂ©e dans la partie la plus Ă©levĂ©e des hautes terres du Kazakhstan central, BourabaĂŻ est surtout connue pour ses nombreux lacs 14 de ces lacs cumulent une superficie totale de plus de 100 km2 et de nombreux autres sont de taille plus modeste. Elle est trĂšs reprĂ©sentative de la biodiversitĂ© de l'Ă©cotone forĂȘt-steppe eurasien. Outre l'agriculture et l'exploitation miniĂšre, la rĂ©gion est une destination touristique populaire depuis la crĂ©ation en 2005 de la zone de villĂ©giature de Shchuchinsk-Borovoye, grĂące Ă sa proximitĂ© avec des rĂ©gions densĂ©ment peuplĂ©es au Kazakhstan et en FĂ©dĂ©ration de Russie, et Ă de bonnes liaisons aĂ©riennes, ferroviaires et routiĂšres avec de biosphĂšre de Markakol KazakhstanCouvrant les Ă©cosystĂšmes les moins perturbĂ©s de la partie sud de l'AltaĂŻ occidental, Markakol est proche de la frontiĂšre avec la Chine. Elle englobe des paysages uniques et caractĂ©ristiques de la taĂŻga de moyenne montagne et des paysages alpins de haute montagne de l'Ă©corĂ©gion de la steppe tempĂ©rĂ©e d'Eurasie, qui abritent diverses espĂšces endĂ©miques, dont le lĂ©opard des neiges et la martre des rochers, espĂšces rares et menacĂ©es. La plupart des habitants de cette rĂ©serve de biosphĂšre tirent leur subsistance de l'Ă©levage et du tourisme, bien que ce dernier soit en de biosphĂšre du lac Khövsgöl MongolieLa biodiversitĂ© existant autour du lac Khövsgöl est unique en Mongolie. Ces vastes zones sont vierges et inhabitĂ©es, ce qui favorise la croissance de plantes sauvages luxuriantes, aromatiques et aux couleurs vives. Ses Ă©cosystĂšmes variĂ©s abritent une variĂ©tĂ© d'espĂšces uniques, dont certaines sont rares et menacĂ©es, comme le lĂ©opard des neiges, le bouquetin ibex, le porte-musc de SibĂ©rie, l'orignal, le renne, le cerf rouge et l'ours brun. Environ personnes vivent dans cette rĂ©serve de biosphĂšre oĂč elles pratiquent l'Ă©levage, le tourisme et utilisent les ressources naturelles. Les habitants locaux et les personnes des districts voisins y rĂ©coltent des noix et des fruits en de biosphĂšre de Harrat Uwayrid Arabie SaouditeLa deuxiĂšme rĂ©serve de biosphĂšre d'Arabie saoudite, situĂ©e dans la partie occidentale du pays, abrite des espĂšces en danger critique d'extinction au niveau mondial, notamment le lĂ©opard d'Arabie et la gazelle arabe, ainsi que diverses espĂšces de flores endĂ©miques. Les quelque villageois vivant dans la zone tampon et les zones de transition dĂ©pendent fortement des activitĂ©s pastorales et de l'agriculture, source de revenus, notamment de l'Ă©levage et de la garde de `, d'ovins et de de biosphĂšre des marais de KafuĂ© ZambieCouvrant plus de ha, la rĂ©serve de biosphĂšre des marais de KafuĂ© traverse plusieurs districts d'importance archĂ©ologique et historique, ainsi qu'un site Ramsar et une zone importante pour les oiseaux. Elle abrite plus de 400 espĂšces aviaires et plusieurs mammifĂšres, dont le zĂšbre, le buffle, l'hippopotame et le lechwe endĂ©mique de est principalement occupĂ©e par les Ila/Balundwe, des bergers transhumants qui pratiquent Ă©galement la pĂȘche et l'agriculture. La rĂ©gion compte la plus grande concentration de bĂ©tail du pays, avec des troupeaux comptant jusqu'Ă tĂȘtes qui paissent dans ses plaines inondables pendant la saison sĂšche. Lors de la saison des pluies, la plupart des communautĂ©s se retirent des plaines de KafuĂ© pour rejoindre des villages permanents en bordure et Ă l'extĂ©rieur de la rĂ©serve de biosphĂšre. Cette mĂ©thode traditionnelle de gestion du bĂ©tail, dĂ©nommĂ©e kuwila », est pratiquĂ©e sur les terres coutumiĂšres au moment de la dĂ©crue, entre juillet et de biosphĂšre de Chimanimani ZimbabweDeuxiĂšme rĂ©serve de biosphĂšre du Zimbabwe, la rĂ©serve de biosphĂšre de Chimanimani comprend une mosaĂŻque de montagnes, de forĂȘts, de prairies et d'arbustes, et des Ă©cosystĂšmes d'eau douce. Le paysage s'Ă©tend vers le Mozambique, dans le cadre d'une rĂ©serve de biosphĂšre transfrontaliĂšre proposĂ©e qui s'Ă©tendrait Ă l'Ă©cosystĂšme montagneux d'Afrique de l'Est, point chaud de la biodiversitĂ© mondiale. Cette rĂ©serve de biosphĂšre comprend six zones clĂ©s de biodiversitĂ© riches en espĂšces de plantes endĂ©miques et 88 sites archĂ©ologiques. Elle est habitĂ©e par environ personnes, principalement issues de la culture Ndau, dont la plupart parlent une langue menacĂ©e. La population locale tire profit des ressources naturelles grĂące au tourisme et aux produits forestiers non ligneux tels que le miel et le 2 rĂ©serves Ă©tendues RĂ©serve de biosphĂšre de El Hierro EspagneSituĂ©e sur lâĂźle dâEl Hierro dans l'archipel des Canaries, cette rĂ©serve de biosphĂšre compte prĂšs de habitants. Elle a notamment Ă©tendu sa zone marine, portant sa superficie totale Ă ha. SituĂ©e dans la rĂ©gion biogĂ©ographique macaronĂ©sienne, El Hierro est devenue entiĂšrement autonome en matiĂšre Ă©nergĂ©tique en 2014, grĂące Ă son systĂšme hybride de production d'Ă©lectricitĂ© de biosphĂšre de Sierra del RincĂłn EspagneLa zone de transition de cette rĂ©serve de biosphĂšre a Ă©tĂ© Ă©largie de 2,5 %, atteignant une superficie de ha. Toute la municipalitĂ© de Madarcos, historiquement et Ă©cologiquement liĂ©e aux cinq municipalitĂ©s qui composent aujourd'hui la rĂ©serve de biosphĂšre, a Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e. Cette extension garantit la protection de la riche biodiversitĂ© de la zone, en particulier sa richesse ornithologique, et du patrimoine culturel associĂ©. L'Ă©largissement renforcera Ă©galement les initiatives de dĂ©veloppement socio-Ă©conomique de la rĂ©gion, notamment dans le domaine du tourisme Balade au pays des merveilleux sites classĂ©s par l'UnescoChine Fanjingshan, un trĂšs rare Ă©cosystĂšme SituĂ© dans la chaĂźne de montagnes de Wuling, dans la province du Guizhou sud-ouest de la Chine, Fanjinshan se caractĂ©rise par une amplitude altitudinale qui va de 2 570 Ă 500 mĂštres au-dessus du niveau de la mer, ce qui favorise l'existence de types de vĂ©gĂ©tation et de relief trĂšs diversifiĂ©s. C'est une Ăźle de roches mĂ©tamorphiques dans un ocĂ©an de karst qui abrite encore de nombreuses espĂšces animales et vĂ©gĂ©tales dont l'origine remonte au Tertiaire, il y a entre 65 millions et deux millions d'annĂ©es. L'isolement a favorisĂ© un haut degrĂ© de biodiversitĂ© avec des espĂšces endĂ©miques, comme le sapin de Fanjinshan Abies fanjingshanensis et le rhinopithĂšque jaune dorĂ© du Guizhou Rhinopithecus brelichi, ou menacĂ©es, comme la salamandre gĂ©ante de Chine Andrias davidianus, le porte-musc nain Moschus berezovskii ou le faisan vĂ©nĂ©rĂ© Syrmaticus reevesii. Fanjinshan abrite la forĂȘt primaire de hĂȘtres la plus vaste et la plus continue de la rĂ©gion subtropicale. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Fanjingshan. © Zhou Wenqing, Office of the Leading Group for World Heritage Application of Tongren City, tous droits rĂ©servĂ©sCes ressources biologiques, en abondance, reprĂ©sentent une grande valeur scientifique et acadĂ©mique. Dans ce trĂšs rare Ă©cosystĂšme se dĂ©nombrent plus de espĂšces biologiques, environ espĂšces vĂ©gĂ©tales soit 13 % de la totalitĂ© de la flore en chine et espĂšces animales et nombre dâespĂšces endĂ©miques. Une vingtaine de cours dâeau prennent leur source ici, alimentant les affluents du site est rĂ©putĂ© pour la magnificence de ses panoramas montagneux, de ses zones humides, ses cascades et ses lacs. Un ensemble de paysages sublimĂ©s par des phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques et les contrastes saisonniers tels que les arcs-en-ciel, les mers de nuages, les mirages et la lĂ©gendaire lumiĂšre de Bouddha ».Depuis la dynastie Ming qui a rĂ©gnĂ© de 1368 Ă 1644, la rĂ©gion est un site sacrĂ© du bouddhisme. Elle est visitĂ©e par de touristes chaque annĂ©e. CorĂ©e du Sud les Sansa, monastĂšres bouddhistes de montagne Les Sansa sont des monastĂšres bouddhistes de montagne dissĂ©minĂ©s dans les provinces mĂ©ridionales de la pĂ©ninsule corĂ©enne. LâamĂ©nagement spatial des sept temples â fondĂ©s du VIIe au IXe siĂšcle â qui composent le site prĂ©sente des traits communs qui sont spĂ©cifiques Ă la CorĂ©e â le madang » cour ouverte entourĂ© de quatre bĂątiments salle du Bouddha, pavillon, salle de lecture et dortoir. Ils contiennent un grand nombre de structures, dâobjets, de documents et de sanctuaires remarquables. Lieux sacrĂ©s, les monastĂšres de montagne ont survĂ©cu jusquâĂ nos jours en tant que centres religieux vivants, avec une pratique quotidienne de la foi. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Le temple de Beopjusa. © CIBM, tous droits rĂ©servĂ©s SituĂ© dans le Parc national de Songnisan qui signifie Ă©loignĂ© du monde ordinaire », ce vaste ensemble de monastĂšres bouddhistes ponctue un paysage spectaculaire et surprenant fait de pics vertigineux, de forĂȘts luxuriantes et de lacs aux formes 120 kilomĂštres de SĂ©oul et localisĂ© Ă mĂštres dâaltitude, le temple de Beopjusa notre photo est lâun des plus beaux exemples. Une trĂšs importante communautĂ© vĂ©cut dans ce monastĂšre ; jusquâĂ moines y Ă©taient installĂ©s et rĂ©partis dans une soixante de bĂątiments. Ce lieu a Ă©tĂ© rĂ©novĂ© prĂšs de 8 fois au cours de ses ans dâhistoire. Gravement endommagĂ©e par les invasions japonaises au cours du XVIe siĂšcle, sa forme actuelle date cependant du XVIIe temple de Beopjusa est cĂ©lĂšbre pour sa pagode en bois de cinq Ă©tages, dâune hauteur de 22,70 mĂštres. Datant de l'Ă©poque de sa reconstruction en 1624, la pagode Palsangjeon est la plus haute du pays. Le temple est aussi connu pour son bouddha assis sur une fleur de lotus sculptĂ©e Ă mĂȘme la roche. Cette statue en bronze mesure 33 mĂštres de haut. France le Haut lieu tectonique ChaĂźne des Puys - Faille de Limagne SituĂ© au centre de la France, le site comprend la longue faille de Limagne, lâalignement des volcans de la chaĂźne des Puys et le relief inversĂ© de la montagne de la Serre. Il sâagit dâun Ă©lĂ©ment emblĂ©matique du rift ouest-europĂ©en, créé dans le sillage de la formation des Alpes, il y a 35 millions dâannĂ©es. Les caractĂ©ristiques gĂ©ologiques du site dĂ©montrent comment la croĂ»te continentale se fissure puis sâeffondre, permettant au magma profond de remonter et entraĂźnant un soulĂšvement de la surface. Le site illustre de maniĂšre exceptionnelle le phĂ©nomĂšne de rupture continentale â ou rifting-, qui est lâune des cinq principales Ă©tapes de la tectonique des plaques. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Le Haut lieu tectonique ChaĂźne des Puys - Faille de Limagne. © Pierre Soissons, tous droits rĂ©servĂ©sIci, les Ă©tapes successives du processus de rift sont parfaitement identifiĂ©es le plateau des DĂŽmes est un ancien socle continental qui, lors de la rupture du continent, sâest Ă©tirĂ©, fracturĂ© puis sâest effondrĂ© le long de la ligne de faille donnant naissance Ă la plaine de Limagne. Ce quâil reste de cette ancienne chaĂźne de montagnes est ce plateau des DĂŽmes dominant, Ă plus de 700 mĂštres. La surface sâest ensuite massivement soulevĂ©e donnant lieu Ă une inversion de relief, la montagne de la chaĂźne des Puys est le rĂ©sultat de la remontĂ©e des magmas par les fissures créées lors la fracturation. Câest un alignement volcanique de quelque 80 Ă©difices aux formes trĂšs variĂ©es dĂŽmes, cĂŽnes, maars â cratĂšresâ et leurs coulĂ©es apparus parallĂšlement Ă la faille de Limagne. Il sâĂ©tale sur prĂšs de 32 kilomĂštres de long et 4 kilomĂštres de Ă©lĂ©ments illustrent le processus de la rupture continentale donnant lieu Ă lâactuelle configuration des ocĂ©ans et des continents. Ici, sâest dĂ©roulĂ© un phĂ©nomĂšne unique dans lâhistoire de notre PlanĂšte la rupture dâun continent. Sous ces verts pĂąturages, ce sont 350 millions dâannĂ©es dâhistoire gĂ©ologique et une lisibilitĂ© des formes prĂ©servĂ©es mais aussi façonnĂ©es par lâagriculture, la sylviculture et le caractĂ©ristiques de ce site sont donc intactes et prĂ©servĂ©es de toute urbanisation depuis longtemps. GrĂące Ă la coordination des acteurs locaux et de lâĂtat, ce site qui est inclus dans le Parc naturel rĂ©gional des volcans dâAuvergne, dâune superficie de ha avec une zone tampon de ha autour, jouit dâune gestion et dâune protection depuis plus dâune centaine dâannĂ©es. Colombie le Parc national de Chiribiquete et la Maloca des jaguars » SituĂ© dans le nord-ouest de lâAmazonie colombienne, le parc national de Chiribiquete est la plus grande zone protĂ©gĂ©e du pays. Lâune des spĂ©cificitĂ©s de ce parc est la prĂ©sence de tepuys mot dâorigine amĂ©rindienne qui signifie montagne », des plateaux de grĂšs aux parois abruptes qui dominent la forĂȘt. Plus de peintures, datĂ©es de avant notre Ăšre jusquâĂ nos jours, figurent sur les parois de 60 abris sous roche qui bordent le pied de ces tepuys. RattachĂ©es Ă un culte supposĂ© du jaguar, symbole de pouvoir et de fĂ©conditĂ©, elles reprĂ©sentent des scĂšnes de chasse, de batailles, de danses ou de cĂ©rĂ©monies. Les communautĂ©s autochtones, qui ne sont pas directement prĂ©sentes sur le site, considĂšrent la rĂ©gion comme sacrĂ©e. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Art rupestre. © Jorge Mario Ălvarez Arango, tous droits rĂ©servĂ©sPour ces peuples, isolĂ©s volontairement ou non, ces terres reprĂ©sentent la Grande maison des animaux », comme en tĂ©moigne, sur nombre dâabris sous roche, la diversitĂ© des motifs peints par les premiers habitants dâAmazonie et ce, jusquâĂ nos jours. Ces reprĂ©sentations rupestres tĂ©moignent du lien spirituel qui les unit avec le cosmos et la nature depuis des plus grand parc national de Colombie couvre une superficie de 2,7 millions dâhectares de nature vierge, lâune des plus importantes zones sauvages reculĂ©es du monde. Le site de Chiribiquete abrite des espĂšces animales telles que le jaguar, le puma, le tapir du BrĂ©sil, la loutre gĂ©ante, le hurleur roux et le lagotriche commun ainsi que dâautres endĂ©miques en grand conservation de cette biodiversitĂ© espĂšces vĂ©gĂ©tales et animales ont Ă©tĂ© recensĂ©es est dâune importance capitale, et dâune richesse irremplaçable ; lâisolement gĂ©ographique du site pourrait avoir favoriser des processus dâadaptation uniques sur la faune et la flore. Turquie Göbekli Tepe et son mystĂ©rieux temple SituĂ© dans la chaĂźne montagneuse du Germus en Anatolie du sud-est, ce site prĂ©sente des structures mĂ©galithiques monumentales de forme circulaire et rectangulaire, interprĂ©tĂ©es comme des enceintes, qui ont Ă©tĂ© Ă©rigĂ©es par des groupes de chasseurs-cueilleurs du NĂ©olithique prĂ©cĂ©ramique entre et avant notre Ăšre. Ces monuments ont sans doute Ă©tĂ© utilisĂ©s dans le cadre de rituels, probablement funĂ©raires. Des piliers caractĂ©ristiques en forme de T sont sculptĂ©s dâanimaux sauvages qui donnent un aperçu de la vision du monde et des croyances des populations vivant en Haute MĂ©sopotamie il y a environ ans. Texte Unesco CC-by-sa IGO â Photo Vue aĂ©rienne de Göbekli Tepe en 2013. © DAI, Göbekli Tepe Project, tous droits rĂ©servĂ©sLe site de Göbekli Tepe littĂ©ralement Colline au nombril », est considĂ©rĂ© comme le plus vieux temple du monde. Cette sĂ©rie dâenceintes circulaires et concentriques, de 10 Ă 20 m de diamĂštre chacune, reliĂ©s par des blocs de pierre formant des murets, est ponctuĂ©e par de grands piliers, mesurant, pour les plus grands, 5 mĂštres de haut et pesant 16 tonnes. Ă lâintĂ©rieur ont Ă©tĂ© trouvĂ©s de magnifiques bas-reliefs stylisĂ©s, des statues, des sculptures dâanimaux, des couteauxâŠParce que le site est monumental et que sa disposition spatiale dĂ©note un souci de lâagencement, et une organisation du travail sur le long terme et donc sociale, les scientifiques y voient la premiĂšre conception architecturale, soit quelques millĂ©naires avant KĂ©ops et Stonehenge. Mais ils restent perplexes quant Ă dĂ©terminer la fonction du lieu. Ătait-il un lieu de pĂšlerinage, de rituels ou dâun lieu de vie frĂ©quentĂ© quotidiennement ? Il semblerait que Göbekli Tepe soit le point de passage dâune sociĂ©tĂ© nomade Ă une sociĂ©tĂ© sĂ©dentaire, initiant le concept dâespace de vie communautaire, les prĂ©mices de la une chose intrigue les archĂ©ologues, pourquoi ce site a-t-il Ă©tĂ© enfoui volontairement sous ces buttes artificielles ? Depuis sa dĂ©couverte en 1963 et le dĂ©but des fouilles en 1995, les chercheurs ne cessent de sâinterroger. Danemark Aasivissuit-Nipisat, terres de chasse inuites Terres de chasse inuites entre mer et glace. Se trouvant au nord du cercle arctique dans la partie centrale de lâouest du Groenland, le site contient des vestiges de ans dâhistoire humaine. Les populations ont façonnĂ© un paysage culturel fondĂ© sur la chasse aux animaux marins et terrestres, les modes saisonniers de migration et un patrimoine culturel immatĂ©riel riche et prĂ©servĂ©, liĂ© notamment au climat, Ă la navigation ou Ă la mĂ©decine. Parmi les caractĂ©ristiques du site, figurent de grandes maisons dâhiver et des traces de chasse au caribou ainsi que des gisements archĂ©ologiques des cultures palĂ©o-inuites et inuites. Ce paysage culturel est prĂ©sentĂ© au travers de sept localitĂ©s importantes, de Nipisat Ă lâouest Ă Aasivissuit, prĂšs de la calotte glaciĂšre, Ă lâest. Il dĂ©montre la persistance des cultures humaines de cette rĂ©gion et leurs traditions de migrations saisonniĂšres. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Vue vers l'ouest du lac d'Aasivissuit, prise Ă l'est de la zone proposĂ©e. © Laust LĂžgstrup, tous droits rĂ©servĂ©sTroisiĂšme site groenlandais inscrit au patrimoine mondial de lâUnesco, lâĂźle du Groenland, Ă 85 % recouvert de glace, est habitĂ©e par habitants, dont 90 % sont issus de migrations dâAsie centrale. MenacĂ© par le rĂ©chauffement climatique et jusquâici protĂ©gĂ© par le froid, le site comprend aussi un environnement de sites archĂ©ologiques qui tĂ©moignent de lâhistoire des populations inuites, de leurs activitĂ©s sur cette partie du Groenland et de leurs traditions, comme ces habitats, les maisons dâhiver circulaires et semi-enterrĂ©es. Si la baleine fournissait de quoi se nourrir, se chauffer, elle permettait aux Inuits de construire des abris. La carcasse dâune baleine atteignant parfois 20 mĂštres de long, elle pouvait servir dâossature pour la construction qui Ă©tait complĂ©tĂ©e par pierres et bois, mottes de terre, tourbe et des millĂ©naires, cette population nomade vit de cueillettes, de pĂȘche et de chasse communautaire. La chasse au caribou, animal fournissant chair, graisse et peau, Ă©tait une technique Ă©laborĂ©e nĂ©cessitant la participation de plusieurs familles pour la construction de clĂŽtures imposantes, de plusieurs kilomĂštres de grĂ© des variations saisonniĂšres tempĂ©ratures, luminositĂ©, prĂ©cipitations, les populations se dĂ©plaçaient sur des milliers de kilomĂštres de couloirs rĂ©pertoriĂ©s en fonction des ressources disponibles. Les trajets et les points de repĂšre Ă©taient mĂ©morisĂ©s avec un systĂšme toponymique propre aux Inuits, une cartographie mentale construite sur lâexpĂ©rience directe, intime, et nâayant pas de correspondance dans les canaux institutionnels. Plus quâun savoir gĂ©ographique vernaculaire dont leur survie dĂ©pendait, il constitue lâexpression culturelle inuite ancestrale. Oman la citĂ© ancienne de QalhĂąt Le site, qui se trouve sur la cĂŽte est du Sultanat dâOman, comprend la citĂ© ancienne de QalhĂąt, dĂ©limitĂ©e par des remparts intĂ©rieurs et extĂ©rieurs, ainsi que des zones en dehors des remparts oĂč se situent des nĂ©cropoles. La citĂ© Ă©tait un port important de la cĂŽte orientale de lâArabie, qui sâest dĂ©veloppĂ© du XIe au XVe siĂšcle de notre Ăšre sous le rĂšgne des princes dâOrmuz. Elle fournit des tĂ©moignages archĂ©ologiques uniques sur les Ă©changes commerciaux entre la cĂŽte orientale de lâArabie, lâAfrique de lâEst, lâInde et jusquâĂ la Chine et lâAsie du Sud-Est. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo MausolĂ©e de BĂźbĂź Maryam. © MHC, tous droits rĂ©servĂ©sLe port mĂ©diĂ©val de QalhĂąt est lâun des sites archĂ©ologiques les plus importants du Sultanat dâOman. FondĂ© vers 1100, il joue un rĂŽle important dans les Ă©changes commerciaux de la pĂ©ninsule arabique. Par voie maritime, lâOman est alors le passage obligĂ© entre lâAsie et lâAfrique. Par voie terrestre, les grandes caravanes qui partent du sud de la pĂ©ninsule forment la Route de lâencens ». Marco Polo sâĂ©merveille de la position stratĂ©gique de cette citĂ© cosmopolite. Un comptoir portugais sây installe pendant 150 sa destruction par les Portugais et un probable tremblement de terre, la ville fortifiĂ©e antique est abandonnĂ©e au dĂ©but du XVIe siĂšcle. Ă part la grande mosquĂ©e richement dĂ©corĂ©e et Ă©rigĂ©e par BĂźbĂź Maryam, femme dâAyĂąz, gouverneur de la ville pour le royaume dâOrmuz au XIIIe siĂšcle, il ne reste quâun vaste champ de ruines dâenviron 35 ha, mais les fouilles ont rĂ©vĂ©lĂ© les principaux Ă©lĂ©ments de lâorganisation de la citĂ© et leur Ă©volution en quartiers ont aussi mis en Ă©vidence un systĂšme dâapprovisionnement en eau, des fortifications, plusieurs grandes maisons parfois trĂšs vastes, des bĂątiments alignĂ©s ou organisĂ©s autour de placettes, des ateliers dâartisans, des structures funĂ©raires. Ces Ă©lĂ©ments sont de prĂ©cieuses informations pour comprendre la vie quotidienne dans lâOman mĂ©diĂ©val. Le projet dâun parc archĂ©ologique est en cours et son ouverture serait prĂ©vue pour 2020. Afrique du Sud les montagnes de Barberton Makhonjwa Ce site, qui se trouve au nord-est de lâAfrique du Sud, englobe 40 % de la ceinture de roches vertes de Barberton, une des plus anciennes structures gĂ©ologiques de notre planĂšte. Les montagnes de Barberton Makhonjwa reprĂ©sentent la succession de roches volcaniques et sĂ©dimentaires la mieux prĂ©servĂ©e datant de 3,6 Ă 3,25 milliards dâannĂ©es, lorsque les premiers continents ont commencĂ© Ă se former sur la terre primitive. On y trouve des brĂšches de retombĂ©e rĂ©sultant des impacts de mĂ©tĂ©orites formĂ©es juste aprĂšs la fin du grand bombardement 4,6 Ă 3,8 milliards dâannĂ©es qui sont particuliĂšrement bien prĂ©servĂ©es. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Upper Hyslops Faurea. © Tony Ferrar, tous droits rĂ©servĂ©sParmi les dix biens dâAfrique du Sud classĂ©s au patrimoine mondial de lâUnesco, celui-ci est le quatriĂšme bien naturel du pays. Il couvre une superficie de hectares situĂ©e dans le sud-est de la province de Mpumalanga. Le site est exceptionnel et unique pour la comprĂ©hension de lâapparition de la vie sur terre. La protection permanente de ce patrimoine revĂȘt donc une valeur inestimable et universelle tant pour lâHistoire que la Ă lâĂ©tude des roches des montagnes de Barberton Makhonjwa, les chercheurs ont extrait les informations sur la formation de la croĂ»te terrestre réévaluant Ă un milliard dâannĂ©es plus tĂŽt la premiĂšre apparition de la vie sur un enregistrement unique de la formation initiale de la planĂšte, le bien comprend une multitude d'espĂšces vĂ©gĂ©tales endĂ©miques et exceptionnellement riches, situĂ©es dans un paysage spectaculaire. Allemagne l'ensemble archĂ©ologique frontalier de Hedeby et du Danevirke Hedeby est un site archĂ©ologique comprenant les vestiges dâun emporium â ou ville commerciale â contenant des traces de rues, de bĂątiments, de cimetiĂšres et dâun port qui remontent au Ier et au dĂ©but du IIe millĂ©naire de notre Ăšre. Il est entourĂ© par une partie du Danevirke, une ligne de fortification traversant lâisthme du Schleswig, qui sĂ©pare la pĂ©ninsule du Jutland du reste de lâEurope continentale. En raison de sa situation unique entre lâEmpire franc au sud et le royaume danois au nord, Hedeby devint une plaque tournante entre lâEurope continentale et la Scandinavie et entre la mer du Nord et la mer Baltique. En raison de son matĂ©riel archĂ©ologique riche et bien conservĂ©, le site est essentiel pour lâinterprĂ©tation des Ă©volutions Ă©conomiques, sociales et historiques en Europe Ă lâĂšre viking. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Le mur courbĂ© du Danevirke. © Rainer Heidenreich, ArchĂ€ologisches Landesamt Schleswig-Holstein, tous droits rĂ©servĂ©sCet ensemble, comprenant le centre de commerce de Hedeby et le systĂšme dĂ©fensif du Danevirke, tĂ©moigne de lâimportance quâa revĂȘtu Hedeby pendant plus de trois siĂšcles, câest-Ă -dire, tout au long de lâĂšre viking. Au Xe siĂšcle, la citĂ© Ă©tait intĂ©grĂ©e aux ouvrages dĂ©fensifs du Danevirke, une ligne dĂ©fensive d'une trentaine de kilomĂštres de long datĂ©e du IXe siĂšcle, Ă©rigĂ©e en terre de six Ă sept mĂštres, renforcĂ©e par des traverses de bois et couronnĂ©es par une palissade ; un fossĂ© double le le port adjacent Ă la ville, ont Ă©tĂ© dĂ©couverts trois pierres runiques ainsi que de nombreux Ă©lĂ©ments du mur, associĂ©s au Danevirke, dont des portions du mur courbe et des ouvrages en mer des vestiges en surface et des traces archĂ©ologiques en sous-sol ou sous lâeau. Ce site donne un aperçu exceptionnel concernant le maillage des rĂ©seaux commerciaux et sur les Ă©changes interculturels. Il aide Ă mieux comprendre le dĂ©veloppement des villes en Europe occidentale et Europe habitĂ©e ni reconstruite depuis quâelle a Ă©tĂ© abandonnĂ©e, la citĂ© de Hedeby recĂšle donc des gisements archĂ©ologiques authentiques. Seuls 5 % ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s, 95 % restant du site et de ses vestiges nâont pas encore Ă©tĂ© fouillĂ©s. De toute Ă©vidence, pĂšsent aujourdâhui des menaces sur le paysage, telles que les Ă©oliennes, lâutilisation des terres, le dĂ©veloppement de lâurbanisation et son impact. Espagne la ville califale de Medina Azahara La ville califale de Medina Azahara est un site archĂ©ologique dâune ville Ă©difiĂ©e au milieu du Xe siĂšcle par la dynastie des Omeyyades comme siĂšge du califat de Cordoue. AprĂšs avoir prospĂ©rĂ© quelques annĂ©es, elle fut mise Ă sac durant la guerre civile qui mit fin au califat en 1009-1010. Les vestiges furent oubliĂ©s pendant prĂšs de ans, jusquâĂ leur dĂ©couverte au dĂ©but du XXe siĂšcle. Cet ensemble urbain complet comprend des infrastructures telles que des routes, ponts ou systĂšmes hydrauliques, des bĂątiments, des Ă©lĂ©ments de dĂ©coration et des objets du quotidien. Il apporte une connaissance approfondie de la civilisation islamique occidentale dâAl-Andalus, aujourdâhui disparue, au sommet de sa splendeur. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Vue aĂ©rienne de la ville califale de MĂ©dina Azahara. © M. PijuĂĄn, Madinat al-Zahra Archaeological Site CAMaZ, tous droits rĂ©servĂ©sSituĂ© Ă huit kilomĂštres de la pĂ©riphĂ©rie ouest de Cordoue, le site doit son aussi bonne prĂ©servation grĂące Ă son oubli. Il nâa Ă©tĂ© ni reconstruit ni modifiĂ© durant cette pĂ©riode. Depuis le dĂ©but du XXe siĂšcle, ont Ă©tĂ© menĂ©s et rendus nĂ©cessaires dâimportants travaux de conservation, de consolidation, de stabilisation des structures. Les seuls 10 % du site qui ont Ă©tĂ© fouillĂ©s ont mis Ă jour une partie du Qasr, ou palais fortifiĂ©, et une sĂ©rie de bĂątiments bien conservĂ©s dont des murs originaux de plusieurs mĂštres de haut. La ville califale de Medina Azahara, littĂ©ralement Ville brillante » sâinscrit dans un quadrilatĂšre de m sur 700 m, formant une enceinte rectangulaire dâenviron 112 ha, se distinguant ainsi du style typique de lâurbanisme musulman Ă cette par le calife des Omeyyades de Cordoue, Abd-ar-Rahman III al-Nasir 912-961, la ville palatiale fut construite en haut dâune colline, en terrasses Ă©chelonnĂ©es Ă©pousant les flancs de la montagne, et divisĂ©e en trois parties. Le systĂšme dâirrigation est l'une des rĂ©alisations les plus admirables. Des canalisations parcourant les montagnes et traversant les vallĂ©es par des aqueducs amenaient lâeau en abondance dans les parcs et dâun point de vue architectural, esthĂ©tique que paysager, Madinat al-Zahra marque le dĂ©but lâarchitecture et de lâart islamique occidental. Dans lâAlhambra, se retrouveront plus tard des Ă©lĂ©ments de la ville palatiale, comme lâorganisation des piĂšces autour dâune cour ou dâun jardin central. Iran le paysage archĂ©ologique sassanide de la rĂ©gion du Fars SituĂ©s dans le sud-est de la province iranienne du Fars, ces huit sites archĂ©ologiques se trouvent dans trois zones gĂ©ographiques Firouzabad, Bishapour et Savestan. Ces structures fortifiĂ©es, palais et plans urbains remontent aux premiers et derniers moments de l'Empire sassanide, qui s'Ă©tendait dans la rĂ©gion entre 224 et 658 apr. Les sites comprennent notamment la premiĂšre capitale du fondateur de la dynastie, Ardachir Papakan, ainsi qu'une ville et des structures architecturales de son successeur, le roi Shapur Ier. Ce paysage archĂ©ologique, qui s'appuie sur une exploitation optimale de la topographie naturelle, tĂ©moigne de l'influence des traditions culturelles achĂ©mĂ©nides et parthes et des Ă©changes avec l'art romain qui eurent un impact important sur l'architecture de la pĂ©riode islamique. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photo Qal'eh Dokhtar. © © ICHHTO, tous droits rĂ©servĂ©sEn Iran, le bien, englobant une superficie de 639 hectares, est symbolique des innovations les plus significatives de la civilisation sassanide matĂ©rialisĂ©es dans diffĂ©rents contextes environnementaux occupation des sols, schĂ©mas dâĂ©tablissement spĂ©ciaux, urbanisme, architecture et ce, pendant 400 cinq sites de Firouzabad sont liĂ©s au fondateur de la dynastie sassanide, Ardachir Ier son palais, la place forte de Qaleh Dokhtar et la ville circulaire de Gur, de m de diamĂštre, ainsi que les reliefs rupestres de lâinvestiture et de la victoire du roi, dans la vallĂ©e de Tang-i Ab. Les vestiges de Bishapour comprennent trois parties remarquables la ville antique circulaire créée par Shapur 1er, fils et successeur dâArdachir, oĂč vivaient entre et habitants. On y trouve le temple dâAnahita et le palais de Shahpur 1er. Le site rupestre de Tang-e Chogan comprend des bas-reliefs et la grotte de Shapur abrite une statue de 6,7 m de hauteur sculptĂ©e dans une stalagmite, reprĂ©sentant finement le roi, Shapur monument de Sarvestan est aujourdâhui considĂ©rĂ© comme un temple du feu et non plus comme une structure palatiale. Il est caractĂ©risĂ© par une salle Ă coupole centrale, deux couloirs Ă colonnes, une cour intĂ©rieure et deux ayvans. Il tĂ©moigne dâune architecture de transition situĂ©e entre la fin de la pĂ©riode sassanide et la conquĂȘte arabe. Mexique la vallĂ©e de TehuacĂĄn-CuicatlĂĄn et son habitat originel de MĂ©so-AmĂ©rique La vallĂ©e de TehuacĂĄn-CuicatlĂĄn, qui fait partie de la rĂ©gion mĂ©so-amĂ©ricaine, est la zone aride ou semi-aride la plus riche en biodiversitĂ© de toute lâAmĂ©rique du Nord. ComposĂ© de trois Ă©lĂ©ments â ZapotitlĂĄn-CuicatlĂĄn, San Juan Raya et PurrĂłn â, ce site est l'un des principaux centres de diversification de la famille des cactus, trĂšs menacĂ©e au niveau mondial. La vallĂ©e abrite notamment les forĂȘts de cactus tubulaires les plus denses de la planĂšte, qui modĂšlent un paysage unique Ă©galement composĂ© dâagaves, de yuccas ou encore de chĂȘnes. Les traces archĂ©ologiques rĂ©vĂšlent par ailleurs un processus d'Ă©volution technique qui reflĂšte la domestication prĂ©coce des vĂ©gĂ©taux. La vallĂ©e prĂ©sente un systĂšme exceptionnel de gestion de l'eau constituĂ© de canaux, de puits, d'aqueducs et de barrages qui sont les plus anciens du continent et ont permis la sĂ©dentarisation de communautĂ©s vivant de l'agriculture. Texte Unesco CC by-sa IGO â Photos Cactus. © Diana Hernandez, CHAC, tous droits rĂ©servĂ©sLe site, dâune superficie dâenviron hectares, est enclavĂ© au centreâsud du Mexique, entre lâĂtat de Puebla et lâĂtat dâOaxaca. Il se caractĂ©rise par la sĂ©cheresse de son climat. Et pourtant, comme sa vĂ©gĂ©tation, la diversitĂ© animale de la rĂ©gion y est impressionnante pour une zone aride et sĂšche, cette derniĂšre compte, notamment, de trĂšs nombreuses espĂšces animales endĂ©miques mammifĂšres terrestres, oiseaux, amphibiens et poissons ainsi quâun nombre Ă©levĂ© dâespĂšces lâun des berceaux de la civilisation oĂč les traces dâoccupation humaine remontent Ă ans avant notre Ăšre, les vestiges retrouvĂ©s sur les sites archĂ©ologiques de cette vallĂ©e indiquent les premiers foyers de la domestication de lâagriculture maĂŻs. Ils tĂ©moignent de cette transition entre le ramassage du chasseur-cueilleur, Ă lâagriculture ; celle-ci posant les fondements de la sĂ©dentarisation des sociĂ©tĂ©s, par ailleurs Ă©galement attestĂ©e par des peintures rupestres et des 2018, le Mexique compte 35 sites inscrits au patrimoine mondial, 28 culturels, 5 naturels et 2 mixtes. Il est le 7e pays au monde qui possĂšde le plus de sites classĂ©s Ă lâUnesco. IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ?
ProtectionEspÚce Protégée. L'Oryx est un animal ruminant aussi appelé Orynx, il fait partie de la famille des gazelles quoiqu'on la considÚre souvent comme une antilope. Son corps mesure de 1.60 à 2.30 mÚtres et son poids de 200 à 225 kg. Il porte des cornes trÚs droites mesurant 80 cm. Pointues comme des épées, les cornes
Le saviez-vous ?La plupart des mammifĂšres halĂštent pour ne pas avoir trop chaud. Les humains et certains mammifĂšres transpirent pour Ă©vacuer la chaleur. Les mammifĂšres sont des animaux qui respirent de lâair et qui ont une colonne vertĂ©brale et des poils. En outre, toutes les femelles ont des glandes capables de produire du lait. Les mammifĂšres sont les ĂȘtres vivants les plus intelligents. Les mammifĂšres englobent toutes sortes dâanimaux, depuis les chats jusquâaux baleines. Lâhomme est un mammifĂšre. Il existe aujourdâhui environ 5 000 espĂšces de mammifĂšres. Plus de la moitiĂ© sont des rongeurs, un groupe qui comprend les souris et les Ă©cureuils. RĂ©partition gĂ©ographique Les mammifĂšres se trouvent dans tous les grands habitats du globe. La plupart vivent sur terre sur le sol, dans les arbres ou mĂȘme sous terre. Certains mammifĂšres loutres, castors, phoques vivent Ă la fois sur terre et dans lâeau. Dâautres baleines, [...] Inscrivez-vous et accĂ©dez Ă cet article dans son intĂ©gralitĂ© ...Pour aller plus loin Articles liĂ©saardvarkLes aardvarks ou oryctĂ©ropes sont des mammifĂšres d'Afrique qui ont la taille d'un porc. Leur nom signifie cochon de terre » en afrikaans langue des premiers colons blancs d'Afrique du Sud. Les aardvarks vivent dan... Lire lâarticleamniotesLes amniotes sont des animaux qui font partie du groupe des tĂ©trapodes vertĂ©brĂ©s primitivement pourvus de 4 membres. Il s'agit des mammifĂšres, des oiseaux, des crocodiliens, des chĂ©loniens tortues et des squamates... Lire lâarticleĂąneLes Ăąnes font partie de la mĂȘme famille que les chevaux les Ă©quidĂ©s. Les Ăąnes domestiques descendent des Ăąnes sauvages d'Afrique. C'est sur ce continent que les hommes domestiquĂšrent les Ăąnes et les utilisĂšrent pour... Lire lâarticleanimalLes animaux sont des ĂȘtres vivants. Comme les plantes, ils ont besoin d'eau et de nourriture pour vivre. Mais contrairement aux plantes, qui fabriquent leur nourriture, ils doivent manger des plantes ou d'autres anima... Lire lâarticleanimaux disparusLorsque les derniers reprĂ©sentants d'une espĂšce animale meurent, cette espĂšce disparaĂźt dĂ©finitivement. On dit qu'elle est Ă©teinte. Causes d'extinction La disparition, ou extinction, d'une espĂšce est souvent due Ă un ... Lire lâarticleantilopeLes antilopes sont des mammifĂšres herbivores de la mĂȘme famille que les bovins, les moutons et les chĂšvres. Les impalas, les addax, les gazelles, les gnous et les oryx sont tous des antilopes. Les antilopes vivent dan... Lire lâarticlebaleineLes baleines sont de gros mammifĂšres qui vivent dans l'eau. MĂȘme si elles ressemblent Ă des poissons, elles respirent hors de l'eau et allaitent leurs petits. Elles appartiennent Ă l'ordre des cĂ©tacĂ©s. Baleines Ă dent... Lire lâarticlebeletteLes belettes sont des mammifĂšres carnivores et de redoutables chasseurs. Elles sont de la mĂȘme famille que les hermines, les visons et les furets. On compte environ 10 espĂšces de belettes, rĂ©parties sur tous les conti... Lire lâarticlebisonLes bisons sont les plus gros mammifĂšres terrestres vivant en Europe et en AmĂ©rique du Nord. Il en existe 2 espĂšces le bison d'Europe et le bison d'AmĂ©rique. Ils sont de la mĂȘme famille que les vaches, les yacks et ... Lire lâarticleblaireauLes blaireaux sont des mammifĂšres de la mĂȘme famille que les belettes, les visons, les loutres et les putois. On compte 8 espĂšces de blaireaux. Leur habitat est variĂ©, mais ils vivent principalement dans les prairies ... Lire lâarticlebonoboLes bonobos sont, avec les chimpanzĂ©s, les plus proches parents vivants des hommes. Comme les chimpanzĂ©s, les gorilles et les orangs-outans, on les appelle grands singes en raison de leur taille et de leur intelligenc... Lire lâarticlebouquetinLe bouquetin est un herbivore ruminant, particuliĂšrement bien adaptĂ© aux falaises et aux escarpements rocheux. Il est caractĂ©risĂ© par de longues cornes ornementĂ©es. Il vit dans les massifs montagneux d'Europe et d'Asi... Lire lâarticlebovinLes bovins sont des grands mammifĂšres Ă sabots que les hommes Ă©lĂšvent pour leur viande, leur lait ou leur peau. Ils tirent aussi parfois les charrues ou d'autres matĂ©riels agricoles. Les bovins appartiennent Ă la mĂȘme... Lire lâarticlebuffleLes buffles sont des mammifĂšres d'Afrique et d'Asie, de la mĂȘme famille que les bĆufs, les bisons et les yacks. Il existe 4 espĂšces de buffles. Le buffle d'Afrique vit surtout dans la savane et dans les plaines africa... Lire lâarticlecĆurLe cĆur est l'organe qui fait circuler le sang dans l'ensemble du corps. Il est une sorte de pompe qui, avec les vaisseaux sanguins artĂšres et veines, forme le systĂšme cardio-vasculaire. Ce systĂšme apporte sans arrĂȘ... Lire lâarticlecampagnolLes campagnols sont des petits mammifĂšres rongeurs qui ressemblent Ă des souris. On compte plus de 100 espĂšces de campagnols, qui vivent en Europe, en AmĂ©rique du Nord et en Asie. On en trouve aussi quelques-unes en L... Lire lâarticlecastorLes castors sont des mammifĂšres connus pour leurs constructions. Ils Ă©difient des barrages avec des branchages, des pierres et de la boue. En barrant les cours d'eau, ils crĂ©ent de vastes bassins d'eau calme au milieu... Lire lâarticleCĂ©nozoĂŻqueLe CĂ©nozoĂŻque est dĂ©fini comme l'Ăšre pĂ©riode de temps gĂ©ologique de la vie rĂ©cente ». Il regroupe ce qui autrefois Ă©tait sĂ©parĂ© en Ăšre tertiaire et Ăšre quaternaire. C'est la derniĂšre Ăšre de l'Ă©on PhanĂ©rozoĂŻque. Su... Lire lâarticlecercopithĂšqueLe cercopithĂšque est un singe de taille moyenne, au corps svelte et Ă longue queue non prĂ©hensile. Il vit dans les forĂȘts africaines, au sud du Sahara. Autrefois appelĂ©s guenons », les cercopithĂšques, reprĂ©sentĂ©s pa... Lire lâarticlecerfLes cerfs sont des mammifĂšres ongulĂ©s Ă sabots reconnaissables Ă leurs grands bois. Ils appartiennent Ă une famille qui compte une quarantaine d'espĂšces cerf Ă©laphe, chevreuil, daim, Ă©lan, wapiti, renne. RĂ©partiti... Lire lâarticlecerveauChez l'homme et les vertĂ©brĂ©s animaux Ă colonne vertĂ©brale, et aussi chez leurs prĂ©curseurs comme l'amphioxus, le cerveau est la partie antĂ©rieure du systĂšme nerveux qui comprend les centres de contrĂŽle du corps. Le... Lire lâarticlecĂ©tacĂ©sLes cĂ©tacĂ©s sont des mammifĂšres exclusivement aquatiques. Ils sont reprĂ©sentĂ©s par les baleines, les cachalots, les rorquals, les orques, les dauphins, les narvals et les marsouins. CaractĂ©ristiques anatomiques Le cor... Lire lâarticlechacalLes chacals sont des animaux ressemblant aux loups et aux chiens. Les chacals communiquent entre eux la nuit par de longs hurlements perçants. Il existe 3 espĂšces de chacals. On trouve le chacal dorĂ© dans l'est de l'E... Lire lâarticlechameau et dromadaireLes chameaux et les dromadaires sont de gros mammifĂšres du dĂ©sert. On les reconnaĂźt Ă leurs bosses. Le chameau en a deux, le dromadaire n'en a qu'une. Ils font partie de la mĂȘme famille que les lamas et les alpagas. R... Lire lâarticlechamoisLes chamois sont des mammifĂšres de la mĂȘme famille que les chĂšvres et les antilopes. Agiles et rapides, les chamois courent Ă 50 kilomĂštres Ă l'heure dans les hautes montagnes d'Europe, oĂč il vit. Les chamois des PyrĂ©... Lire lâarticlechatLes chats domestiques sont de petits mammifĂšres qui vivent avec les hommes depuis des milliers d'annĂ©es. Animaux de compagnie ou chasseurs de petits rongeurs nuisibles, ils ont mĂȘme Ă©tĂ© vĂ©nĂ©rĂ©s par l'homme en tant qu... Lire lâarticlechauve-sourisLes chauves-souris sont les seuls mammifĂšres capables de voler. On les prend parfois Ă tort pour des oiseaux. RĂ©partition gĂ©ographique Il existe environ 900 espĂšces de chauves-souris. Elles peuplent le monde entier, p... Lire lâarticlechevalLes chevaux sont des mammifĂšres apprĂ©ciĂ©s par l'homme depuis des milliers d'annĂ©es. Autrefois, ils servaient Ă se dĂ©placer et Ă tirer de lourdes charges. Aujourd'hui, on les emploie pour des activitĂ©s de loisir sport... Lire lâarticlecheval de PrjewalskiLe cheval de Prjewalski est la derniĂšre espĂšce de cheval sauvage. Il vit aujourd'hui essentiellement en captivitĂ© aprĂšs avoir complĂštement disparu du dĂ©sert de Gobi ainsi que des steppes et des rĂ©gions montagneuses de... Lire lâarticlechĂšvreLes chĂšvres sont des mammifĂšres domestiquĂ©s ou sauvages, dont on utilise le lait, la viande et les poils laine. Ce sont des animaux robustes, qui peuvent se nourrir avec peu de chose. On peut Ă©lever des chĂšvres sur ... Lire lâarticlechienLes chiens font partie des animaux favoris de l'homme dans le monde entier. Ils sont parmi les premiers Ă avoir Ă©tĂ© domestiquĂ©s. Ils appartiennent Ă la mĂȘme famille que les loups, les renards, les chacals et les coyot... Lire lâarticlechien de prairieLes chiens de prairie sont des rongeurs qui aboient comme des chiens. Ils appartiennent Ă la mĂȘme famille que les Ă©cureuils. Ils sont connus pour leurs rĂ©seaux de galeries souterraines, semblables Ă des villes. Il exi... Lire lâarticlechimpanzĂ©Les chimpanzĂ©s sont des grands singes, trĂšs intelligents. Ces mammifĂšres sont des primates de la mĂȘme famille que les hommes. Les chimpanzĂ©s sont en effet nos plus proches cousins vivants. Ce sont des animaux sociaux ... Lire lâarticlecochon d'IndeLes cochons d'Inde domestiques sont de petits rongeurs, trĂšs apprĂ©ciĂ©s comme animaux de compagnie. Ils servent aussi Ă la recherche mĂ©dicale. D'autres espĂšces sont sauvages. Ils ont un corps trapu, de petites oreilles... Lire lâarticlecoyoteLes coyotes sont des animaux sauvages de la mĂȘme famille que les chiens. Ils sont connus pour leur intelligence et leurs hurlements nocturnes. Les coyotes peuplent l'AmĂ©rique du Nord. Ils vivent parfois Ă proximitĂ© de... Lire lâarticledamanLe daman est un petit herbivore Ă l'allure d'un rongeur. Il vit soit sur les rochers daman des rochers, genre Procavia, soit dans les steppes et les savanes daman des steppes, genre Heterohyrax, soit dans les forĂȘ... Lire lâarticledauphinLes dauphins ont l'apparence de gros poissons, mais ce sont des mammifĂšres. Ils appartiennent Ă la mĂȘme famille que les baleines. Les dauphins sont de proches cousins des marsouins. Ils se ressemblent tellement qu'on ... Lire lâarticledingoLe dingo est un chien sauvage, Ă la robe fauve. Ce canidĂ© vit dans les dĂ©serts, les forĂȘts humides ou les terrains boisĂ©s d'Australie. Les dingos Canis familiaris dingo seraient issus de chiens domestiques introduit... Lire lâarticlediversification des espĂšcesLa diversification des espĂšces, appelĂ©e aussi radiation adaptative, correspond, durant une pĂ©riode donnĂ©e, Ă l'apparition de nombreuses espĂšces provenant d'une mĂȘme espĂšce, dite ancestrale. Comment se produit la diver... Lire lâarticledugongLe dugong est un gros mammifĂšre herbivore marin, au corps lourd mais fuselĂ©. Encore appelĂ© vache marine », il peuple les zones cĂŽtiĂšres de l'ocĂ©an Indien ainsi que celles de la mer Rouge et du sud-ouest de l'ocĂ©an P... Lire lâarticleĂ©chidnĂ©Avec leurs cousins les ornithorynques, les Ă©chidnĂ©s sont les seuls mammifĂšres qui pondent des Ćufs. Il existe 3 espĂšces d'Ă©chidnĂ©s. L'Ă©chidnĂ© Ă bec court est commun en Australie, notamment en Tasmanie. Les 2 espĂšces d... Lire lâarticleĂ©cureuilLes Ă©cureuils sont des rongeurs dotĂ©s d'une longue queue touffue. Ils font partie d'une famille qui regroupe plus de 250 animaux diffĂ©rents marmottes, chiens de prairie. On trouve des Ă©cureuils dans le monde entier,... Lire lâarticleĂ©lanLes Ă©lans sont les plus grands animaux de la mĂȘme famille que les cerfs. On les reconnaĂźt Ă leur grosse tĂȘte aux larges bois plats. Ils portent le nom d'orignal au Canada. Les Ă©lans vivent au Canada, en Alaska et dans... Lire lâarticleĂ©lĂ©phantLes Ă©lĂ©phants sont les plus grands mammifĂšres terrestres vivants. Il en existe 2 espĂšces l'Ă©lĂ©phant d'Afrique et l'Ă©lĂ©phant d'Asie. Ils appartiennent Ă la mĂȘme famille que les mammouths et les mastodontes, aujourd'h... Lire lâarticleĂ©quidĂ©sLa famille des Ă©quidĂ©s rĂ©unit les diffĂ©rentes espĂšces de chevaux, d'Ăąnes, de zĂšbres et d'hĂ©miones Ăąnes sauvages d'Asie, encore appelĂ©s onagres. Ces animaux possĂšdent tous 4 membres membres dits chiridiens qui repo... Lire lâarticleespĂšces en voie de disparitionLes espĂšces en voie de disparition sont des animaux ou des vĂ©gĂ©taux menacĂ©s de disparaĂźtre pour toujours. Quand une espĂšce a totalement disparu, on dit qu'elle est Ă©teinte. Menaces pour les espĂšces La faune et la flor... Lire lâarticlefourmilierLes fourmiliers sont de drĂŽles d'animaux, complĂštement Ă©dentĂ©s, au long museau tubulaire. Ils Ă©ventrent les fourmiliĂšres et les termitiĂšres avec les longues griffes de leurs puissantes pattes antĂ©rieures. Ils ingĂšrent... Lire lâarticlegerbilleLes gerbilles sont des petits rongeurs similaires aux souris et aux rats. Il en existe plus de 100 espĂšces. Elles vivent en Afrique et en Asie, principalement dans les dĂ©serts et les habitats secs et sableux. Certaine... Lire lâarticlegestationLa gestation correspond Ă la pĂ©riode pendant laquelle une femelle porte ses petits Ă l'intĂ©rieur d'elle-mĂȘme dans une poche femelle vivipare dont l'utĂ©rus est l'exemple le plus frĂ©quent. Sa durĂ©e varie en fonction d... Lire lâarticlegibbonLes gibbons sont des grands singes, de la mĂȘme famille que les gorilles, les orangs-outans et les chimpanzĂ©s. Ils sont cependant plus petits et moins intelligents. Ils appartiennent Ă la classe des mammifĂšres. Ce sont... Lire lâarticlegirafeLes girafes sont de grands animaux, dont la hauteur peut dĂ©passer 5,5 mĂštres. Elles vivent dans les savanes de l'est de l'Afrique. Les girafes ont un petit tronc, mais leurs pattes et leur cou sont trĂšs longs. Leur pe... Lire lâarticlegorilleLes gorilles sont des grands singes, ou singes anthropoĂŻdes. Ce sont les plus grands membres de la famille des primates, qui comprend les autres singes et les hommes. AprĂšs les chimpanzĂ©s, ils sont gĂ©nĂ©tiquement les p... Lire lâarticleguĂ©pardLes guĂ©pards sont les animaux terrestres les plus rapides. Membres de la famille des fĂ©lins, ils peuvent dĂ©passer 110 kilomĂštres Ă l'heure. RĂ©partition gĂ©ographique Les guĂ©pards vivent dans les steppes et les savanes ... Lire lâarticlehamsterLes hamsters sont des petits mammifĂšres de la famille des rongeurs. Comme les souris, les Ă©cureuils et les castors, ils ont de grandes incisives dents de devant pour mordre et ronger. Ils font partie des rares anima... Lire lâarticlehĂ©rissonLes hĂ©rissons sont de petits mammifĂšres qui vivent Ă l'Ă©tat sauvage en Europe, en Afrique et en Asie. Dans certains endroits du monde, ce sont des animaux de compagnie. Les hĂ©rissons vivent dans les dĂ©serts, les forĂȘt... Lire lâarticlehibernationL'hibernation est la façon dont certains animaux affrontent l'hiver. Ils se rĂ©fugient dans un endroit sĂ»r et vivent au ralenti. Ils respirent Ă peine, et leur tempĂ©rature corporelle peut descendre Ă prĂšs de 0 0C. Ă l'... Lire lâarticlehippopotameLes hippopotames sont d'imposants mammifĂšres prĂ©sents dans l'est de Afrique. Ils vivent prĂšs des riviĂšres, des lacs et des marais. Leur nom, d'origine grecque, signifie cheval de fleuve ». Les hippopotames ont un co... Lire lâarticlehyĂšneLes hyĂšnes sont des mammifĂšres d'Afrique et d'Asie. MalgrĂ© leur ressemblance avec le chien, elles sont plus proches des fĂ©lins. Il y a 3 espĂšces de hyĂšnes la hyĂšne tachetĂ©e, la hyĂšne rayĂ©e et la hyĂšne brune. La hyĂšn... Lire lâarticlejaguarLes jaguars sont les plus gros fĂ©lins d'AmĂ©rique. On les trouve surtout dans la forĂȘt amazonienne, en AmĂ©rique du Sud. Les jaguars ressemblent aux lĂ©opards, mais ils sont plus grands et ont de plus grosses taches noir... Lire lâarticlekangourouLes kangourous sont des animaux qui se dĂ©placent en sautant sur leurs pattes postĂ©rieures. Ils appartiennent Ă la classe des marsupiaux, animaux qui portent leurs petits dans une poche ventrale. Il existe environ 50 e... Lire lâarticlekoalaLes koalas sont de petits animaux au pelage Ă©pais qui vivent dans l'est de l'Australie. Ils ressemblent Ă des oursons, mais appartiennent en fait Ă la famille des marsupiaux, animaux qui portent leurs petits dans une ... Lire lâarticlelamaLes lamas sont des mammifĂšres de la mĂȘme famille que les dromadaires. Ils n'ont pas de bosse comme ces derniers, mais, comme eux, ils sont souvent domestiquĂ©s. L'homme les utilise notamment pour porter des charges. On... Lire lâarticlelamantinLes lamantins sont des mammifĂšres aquatiques paisibles et indolents qui ressemblent aux phoques. Ils vivent en eau peu profonde, prĂšs des cĂŽtes et dans les fleuves. Il en existe 3 espĂšces. Le lamantin d'Amazone est pr... Lire lâarticlelapin et liĂšvreLes lapins et les liĂšvres sont des mammifĂšres Ă grandes oreilles. Il existe une trentaine d'espĂšces de lapins sauvages et une trentaine d'espĂšces de liĂšvres. Ils appartiennent Ă la mĂȘme famille, et leur ressemblance f... Lire lâarticlelemmingLes lemmings sont des petits rongeurs qui ressemblent Ă des souris. Ils vivent en AmĂ©rique du Nord, en Europe et en Asie. Les lemmings mesurent entre 10 et 18 centimĂštres de longueur leur courte queue comprise. Leur... Lire lâarticlelĂ©murienLes lĂ©muriens sont des mammifĂšres aux grands yeux et au corps de singe. Ils appartiennent Ă l'ordre des primates, comme les loris, les tarsiers, les singes et les hommes. Environ 50 espĂšces s'en rapprochent, dont le c... Lire lâarticlelĂ©opardLes lĂ©opards sont des fĂ©lins prĂ©sents en Afrique et en Asie, connus pour leur pelage tachetĂ©. Ils sont parfois appelĂ©s panthĂšres. Les lĂ©opards pĂšsent en moyenne entre 50 et 90 kilogrammes. Ils mesurent environ 2 mĂštre... Lire lâarticlelionLes lions sont, aprĂšs les tigres, les plus gros fĂ©lins. Ils vivent dans certaines rĂ©gions d'Afrique et de l'Inde. Leurs rugissements sont parmi les cris les plus impressionnants de la savane. CaractĂšres physiques Les ... Lire lâarticlelorisLes loris sont des petits mammifĂšres qui se dĂ©placent lentement. Ce sont des primates, comme les lĂ©muriens, les singes et les hommes. Ils vivent surtout dans les forĂȘts et les marais du sud de l'Inde et du Sud-Est asi... Lire lâarticleloupLes loups sont des animaux de la mĂȘme famille que les chiens. Ils sont rĂ©putĂ©s pour leur intelligence, leur courage et leur aptitude Ă parcourir de trĂšs longues distances. RĂ©partition gĂ©ographique Il existe 3 espĂšces ... Lire lâarticleloutreLes loutres sont des mammifĂšres qui vivent dans l'eau ou Ă proximitĂ©. Contrairement Ă la plupart des animaux, les adultes restent trĂšs joueurs. Ils adorent faire des glissades sur les berges et dans la neige. Les lout... Lire lâarticlelycaonLe lycaon, encore appelĂ© loup peint, est un canidĂ© aisĂ©ment reconnaissable Ă ses grandes oreilles arrondies et dressĂ©es, et Ă son pelage bigarrĂ©. Il vit dans les savanes d'Afrique, au sud du Sahara. Les lycaons Lycao... Lire lâarticlelynxLes lynx sont des cousins des chats sauvages. Ils vivent dans les forĂȘts d'Europe, d'Asie et d'AmĂ©rique du Nord. Certains lynx sont aussi appelĂ©s loups-cerviers, car ils s'attaquent aux cerfs. Les lynx mesurent de 80 ... Lire lâarticlemangousteLes mangoustes sont de petits mammifĂšres, trĂšs vifs, capables de tuer des cobras et autres serpents venimeux. Elles les attaquent en se prĂ©cipitant sur eux, et en mordant avec force leur crĂąne pour le briser. Il en ex... Lire lâarticlemarmotteLes marmottes sont de gros rongeurs de la mĂȘme famille que les Ă©cureuils, qui hibernent. Elles se rencontrent en Europe, en Asie et en AmĂ©rique du Nord. Les marmottes communes d'Europe, ou marmottes des Alpes, vivent ... Lire lâarticlemarsouinLes marsouins sont des cĂ©tacĂ©s, une famille de mammifĂšres marins Ă laquelle appartiennent les baleines et les dauphins. Les marsouins ressemblent tellement aux dauphins qu'on les confond souvent. Leur tĂȘte, plus court... Lire lâarticlemarsupialLes marsupiaux sont des mammifĂšres dont les femelles portent leurs petits dans une poche. Les kangourous, les koalas et les opossums sont les plus connus. Les marsupiaux vivent dans les forĂȘts, les lacs, les cours d'e... Lire lâarticleMĂ©sozoĂŻqueLe MĂ©sozoĂŻque, signifiant vie du milieu », est dĂ©fini comme l'Ăšre pĂ©riode de temps gĂ©ologique comprise entre le PalĂ©ozoĂŻque Ăšre de la vie ancienne » et le CĂ©nozoĂŻque Ăšre de la vie rĂ©cente ». C'est donc la ... Lire lâarticlemonotrĂšmesLes monotrĂšmes, dont le plus connu est l'ornithorynque, sont des mammifĂšres qui pondent des Ćufs ovipares. Ils ont la particularitĂ© de possĂ©der un Ă©peron cornĂ© au niveau de la plante du pied. Chez les mĂąles, cet Ă©pe... Lire lâarticlemorse, animalLes morses sont de gros mammifĂšres qui vivent dans les mers froides arctiques d'Europe, d'Asie et d'AmĂ©rique du Nord. Ils se diffĂ©rencient des phoques par leurs 2 longues canines supĂ©rieures, ou dĂ©fenses. Les morses o... Lire lâarticlemoufetteLes moufettes, ou sconses, sont des mammifĂšres capables d'Ă©mettre un liquide Ă l'odeur nausĂ©abonde lorsqu'elles se sentent menacĂ©es. Les moufettes se rencontrent dans toute l'AmĂ©rique. Elles vivent dans divers milieux... Lire lâarticlemoutonLes moutons sont des mammifĂšres que l'homme a domestiquĂ©s. On appelle les mĂąles bĂ©liers, les femelles brebis et les petits agneaux ou existe plus de deux cents races de moutons, rĂ©parties sur tous les cont... Lire lâarticlemusaraigneLes musaraignes sont des petits mammifĂšres qui ressemblent Ă des souris. Mais, contrairement Ă ces rongeurs, ce sont des insectivores. Il en existe plus de 300 espĂšces. Les musaraignes vivent surtout dans les rĂ©gions ... Lire lâarticlenidUn nid est une structure dans laquelle certains animaux vivent ou abritent leurs petits. Les oiseaux en construisent pour y dĂ©poser leurs Ćufs. Certains poissons, amphibiens, reptiles, mammifĂšres ou insectes bĂątissent... Lire lâarticleocelotLes ocelots sont des fĂ©lins Ă la fourrure tachetĂ©e. Ils vivent dans les forĂȘts tropicales, les prairies ou les rĂ©gions couvertes de broussailles d'AmĂ©rique du Sud et d'AmĂ©rique centrale. Les ocelots sont des animaux Ă ... Lire lâarticleokapiL'okapi est un grand herbivore ruminant, rappelant Ă la fois le zĂšbre et la girafe. Il vit exclusivement dans les forĂȘts denses du nord et du nord-est de la RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo. Les okapis Okapia johnsto... Lire lâarticleopossumLes opossums sont des marsupiaux, c'est-Ă -dire des mammifĂšres qui portent leurs petits dans une poche. La plupart vivent dans les forĂȘts d'AmĂ©rique centrale et d'AmĂ©rique du Sud. L'opossum de Virginie Ătats-Unis est... Lire lâarticleorang-outanLes orangs-outans sont les plus gros animaux Ă passer l'essentiel de leur temps dans les arbres. Ce sont des grands singes, trĂšs intelligents, comme les gorilles, les chimpanzĂ©s et les bonobos. Ils appartiennent Ă la ... Lire lâarticleornithorynqueLes ornithorynques sont de curieux mammifĂšres qu'on ne trouve que dans l'est de l'Australie et en Tasmanie. Comme les Ă©chidnĂ©s, leurs cousins, ce sont les seuls mammifĂšres Ă pondre des Ćufs. MĂȘme leur apparence est in... Lire lâarticleoursLes ours sont de grands et puissants mammifĂšres. Ils sont les plus grands animaux carnivores terrestres. Il existe 7 espĂšces d'ours l'ours blanc ou ours polaire, l'ours brun, l'ours noir, l'ours Ă collier, l'ours ... Lire lâarticleours blancL'ours blanc est un grand carnivore terrestre, Ă la fourrure uniformĂ©ment blanche. Il arpente les cĂŽtes et la banquise des rĂ©gions polaires de l'hĂ©misphĂšre Nord Alaska, Canada, Groenland, NorvĂšge, Russie. L'ours bla... Lire lâarticleours brun et ours noirLes ours bruns et les ours noirs sont de grands carnivores solitaires, au pelage Ă©pais, vivant dans les forĂȘts d'AmĂ©rique du Nord ours noir et d'AmĂ©rique et d'Eurasie ours brun. L'ours brun Ursus arctos, appelĂ© ... Lire lâarticleours des tropiquesLes ours des tropiques sont des petits ours trĂšs agiles qui vivent dans les forĂȘts d'Asie ours lippu, ours malais et ours Ă collier et d'AmĂ©rique du Sud ours Ă lunettes. Physiquement, chaque espĂšce d'ours des trop... Lire lâarticlepandaLes grands pandas et les petits pandas sont 2 mammifĂšres d'Asie. MalgrĂ© leur nom commun, ils ne se ressemblent guĂšre. Les grands pandas appartiennent Ă la mĂȘme famille que les ours. Les petits pandas ressemblent plus ... Lire lâarticleparesseuxLes paresseux sont des mammifĂšres d'une remarquable lenteur qui passent la majeure partie de leur vie dans les arbres. Ils vivent dans les forĂȘts tropicales d'AmĂ©rique centrale et d'AmĂ©rique du Sud. Ils appartiennent ... Lire lâarticlepatteUne patte est un membre dont la fonction est d'assurer les dĂ©placements locomotion. Les pattes soutiennent le poids du corps des animaux. L'ĂȘtre humain possĂšde deux jambes. Ces derniĂšres peuvent ĂȘtre assimilĂ©es Ă de... Lire lâarticlephoque et otarieLes phoques et les otaries sont des mammifĂšres marins apparentĂ©s aux morses. Il en existe plus de 30 espĂšces. Ils vivent surtout dans les mers froides. Les phoques se distinguent par l'absence d'oreille apparente. En ... Lire lâarticlepipistrelleLa pipistrelle est une petite chauve-souris insectivore qui vit en Europe, en Afrique du Nord et en Asie. ReprĂ©sentĂ©es par une quarantaine d'espĂšces, les pipistrelles possĂšdent un corps trapu, une tĂȘte pointue au muse... Lire lâarticlepoils et cheveuxLe poil est une structure fine et flexible qui pousse sur la peau de tous les mammifĂšres. Comme la corne et les ongles, il est formĂ© d'une protĂ©ine, la kĂ©ratine. Chaque poil a une tige et une racine. La tige, morte, s... Lire lâarticleponeyLe poney est un petit cheval domestiquĂ© trĂšs rustique, utilisĂ© surtout pour l'Ă©quitation enfantine. Les poneys possĂšdent un corps trapu, une tĂȘte ramassĂ©e et des membres Ă©pais. Leur robe peut ĂȘtre tachetĂ©e ou unie, de... Lire lâarticleporcLes porcs sont de gros mammifĂšres aux formes arrondies et au solide appĂ©tit. Certaines espĂšces de porcs sont sauvages, d'autres domestiques. On les Ă©lĂšve pour leur viande, dont on fait de nombreuses charcuteries, et l... Lire lâarticleporc-Ă©picLes porcs-Ă©pics sont des rongeurs couverts de piquants. Ceux-ci sont en fait des poils rigides longs qui servent Ă les protĂ©ger. Les porcs-Ă©pics se rencontrent en Europe, en Afrique, en Asie et en AmĂ©rique. Certains v... Lire lâarticleprimateLes primates reprĂ©sentent un groupe de mammifĂšres dont le cerveau est trĂšs dĂ©veloppĂ©. Les principaux primates sont les hommes, les singes, les tarsiers, les lĂ©muriens et les loris. Il en existe plus de 300 espĂšces. To... Lire lâarticleproboscidiensLes proboscidiens forment un groupe de mammifĂšres composĂ© des espĂšces actuelles d'Ă©lĂ©phants et de nombreuses espĂšces fossiles dont la plus connue est le mammouth. Ils sont caractĂ©risĂ©s, entre autres, par leur trompe... Lire lâarticlepumaLes pumas sont de gros fĂ©lins d'AmĂ©rique du Nord et du Sud. On les appelle aussi lions des montagnes ou couguars. Ils ont Ă peu prĂšs la mĂȘme taille que les jaguars, seuls autres gros fĂ©lins du continent amĂ©ricain. Les... Lire lâarticleragondinLe ragondin est un gros rongeur qui ressemble au castor. Originaire des rĂ©gions tempĂ©rĂ©es d'AmĂ©rique du Sud, il a Ă©tĂ© introduit en AmĂ©rique du Nord, en Eurasie et en Afrique de l'Est. Le ragondin Myocastor coypus, e... Lire lâarticleratLes rats sont des mammifĂšres de l'ordre des rongeurs. Ils vivent partout dans le monde, dans la nature ou prĂšs des hommes. Les rats ressemblent aux souris, mais sont plus gros. Ils mesurent en moyenne entre 18 et 25 c... Lire lâarticlerat musquĂ©Le rat musquĂ© est un rongeur amphibie, rĂ©putĂ© pour sa fourrure. Il vit sur les berges des Ă©tangs, des riviĂšres et de certains fleuves d'AmĂ©rique et d'Eurasie oĂč il a Ă©tĂ© introduit au dĂ©but du 20e siĂšcle. Il doit son... Lire lâarticleraton laveurLes ratons laveurs sont des mammifĂšres d'AmĂ©rique. On les trouve dans les villes comme Ă la campagne. Il en existe 7 espĂšces, dont la plus connue est le raton laveur commun. Cette espĂšce se rencontre au Canada, aux Ăt... Lire lâarticlerenardLes renards sont des mammifĂšres qui ressemblent Ă de petits chiens avec une longue queue touffue. Ils vivent dans le monde entier, mais dans des habitats diffĂ©rents selon les espĂšces. Les renards roux aiment les terre... Lire lâarticlerenneLes rennes sont des mammifĂšres de la mĂȘme famille que les Ă©lans et les wapitis. On les appelle caribous au Canada. Sur la tĂȘte de tous les rennes pousse une paire d'imposantes structures osseuses les bois. Les renne... Lire lâarticlerhinocĂ©rosLes rhinocĂ©ros sont des mammifĂšres massifs, dotĂ©s d'une peau Ă©paisse et de sabots. Il en existe 5 espĂšces. Ă cause du braconnage chasse illĂ©gale, elles sont presque toutes menacĂ©es d'extinction. Le rhinocĂ©ros de Sum... Lire lâarticlerongeurLes rongeurs sont des mammifĂšres dotĂ©s de longues incisives acĂ©rĂ©es et prĂ©sents presque partout dans le monde. Plus de la moitiĂ© des mammifĂšres de la planĂšte sont des rongeurs rats, souris, Ă©cureuils, marmottes, gerb... Lire lâarticleroussetteLa roussette est une chauve-souris qui vit dans les rĂ©gions chaudes et humides d'Afrique, d'Asie et d'une partie de l'Australasie. ReprĂ©sentĂ©es par quelque 160 espĂšces, les roussettes possĂšdent une tĂȘte ressemblant Ă ... Lire lâarticleruminantsLes ruminants sont des mammifĂšres qui appartiennent au groupe des ongulĂ©s. Ils sont reprĂ©sentĂ©s par les girafes, les antilopes, les bĆufs, les gazelles, les bouquetins... Tous les ruminants sont des herbivores. Cepen... Lire lâarticlesanglierLe sanglier est un gros mammifĂšre qui vit dans les massifs forestiers, les broussailles et les maquis d'Europe Ă l'exception de l'Irlande et de l'Islande. Le sanglier Sus scrofa possĂšde un corps rĂąblĂ©, de trĂšs cou... Lire lâarticlesingeLes singes sont des mammifĂšres intelligents et sociaux, connus pour leur habiletĂ© Ă courir et Ă grimper aux arbres. Ils appartiennent Ă l'ordre des primates. Les grands singes chimpanzĂ©s, orangs-outans, gorilles et ... Lire lâarticlesinge anthropoĂŻdeLes singes anthropoĂŻdes, ou grands singes, sont nos plus proches parents. Comme l'homme, ils appartiennent Ă l'ordre des primates. Les autres singes sont aussi des primates. Mais les singes anthropoĂŻdes s'en distingue... Lire lâarticlesourisLes souris sont de petits mammifĂšres de l'ordre des rongeurs. On les trouve presque partout dans le monde. Il existe une quarantaine d'espĂšces de souris. La plus connue est la souris grise, ou souris domestique, qui v... Lire lâarticletapirLes tapirs sont des mammifĂšres vivant dans les marĂ©cages et les forĂȘts prĂšs des riviĂšres. Ils sont proches des chevaux et des rhinocĂ©ros. Il existe 3 espĂšces de tapirs en AmĂ©rique centrale et du Sud, une en Asie du Su... Lire lâarticletarsierLes tarsiers sont de petits animaux aux grands yeux. DotĂ©s d'une excellente vue et d'une ouĂŻe fine, ce sont de bons chasseurs, la nuit ou le jour. Comme les singes et les lĂ©muriens, ils appartiennent au groupe des pri... Lire lâarticletatouLes tatous sont de petits mammifĂšres apparentĂ©s aux paresseux et aux fourmiliers. Ils ont une carapace solide qui les protĂšge de leurs ennemis et d'autres dangers. Il existe 20 espĂšces de tatous. On les trouve surtout... Lire lâarticletaupeLes taupes sont de petits mammifĂšres fouisseurs connus pour leurs galeries souterraines. Il en existe plus de 40 espĂšces, prĂ©sentes en Europe, en Asie et en AmĂ©rique du Nord. La plupart des taupes ont un corps cylindr... Lire lâarticletĂ©trapodesLes tĂ©trapodes sont des vertĂ©brĂ©s qui possĂšdent, ou ont possĂ©dĂ© au cours de leur Ă©volution, 4 membres terminĂ©s par des doigts. Le terme tĂ©trapode » vient du grec tetra, qui signifie quatre, et podos, pied. Chez l'ho... Lire lâarticletigreLes tigres sont les plus grands fĂ©lins. Comme les lions, ce sont des chasseurs puissants et fĂ©roces. On les trouve Ă l'Ă©tat sauvage dans certaines rĂ©gions de Russie, de Chine, et d'Asie du Sud et du Sud-Est. Ils viven... Lire lâarticlevertĂ©brĂ©Les vertĂ©brĂ©s ont une colonne vertĂ©brale. L'homme, les autres mammifĂšres, les poissons, les amphibiens, les reptiles et les oiseaux sont des vertĂ©brĂ©s. Les vertĂ©brĂ©s ont des caractĂ©ristiques communes. Leur colonne ver... Lire lâarticlevie sur Terre, apparition de laBien avant l'apparition de l'homme sur Terre, d'autres formes de vie ont existĂ©. Nombre de ces espĂšces vivantes ont aujourd'hui disparu. On appelle palĂ©ontologie l'Ă©tude des anciennes formes d'ĂȘtres vivants qui se son... Lire lâarticlevisonLes visons sont des mammifĂšres connus pour leur fourrure Ă©paisse et soyeuse, dont on fait des manteaux. Il en existe 2 espĂšces le vison d'AmĂ©rique et le vison d'Europe. Ils sont de la mĂȘme famille que les belettes e... Lire lâarticlevivipare et ovipareLe terme vivipare » dĂ©signe les animaux dont les embryons se dĂ©veloppent dans le corps de la femelle. L'Ćuf n'est pas libĂ©rĂ© dans le milieu extĂ©rieur, il reste dans le corps de la mĂšre. La femelle donne naissance Ă ... Lire lâarticlewapitiLes wapitis sont des mammifĂšres proches des cerfs originaires d'AmĂ©rique du Nord. Les scientifiques les considĂšrent comme une sous-espĂšce du cerf Ă©laphe d'Eurasie. Ce sont les membres les plus grands de la famille des... Lire lâarticleyackLes yacks ou yaks sont de gros ruminants Ă la toison Ă©paisse, portant une bosse au niveau des Ă©paules. Ils vivent surtout dans les hauts plateaux du Tibet dans l'ouest de la Chine, oĂč ils sont domestiquĂ©s depuis p... Lire lâarticlezĂšbreLes zĂšbres sont des mammifĂšres de la famille des chevaux, Ă robe claire rayĂ©e de noir ou de brun. Il en existe 3 espĂšces le zĂšbre de plaine, le zĂšbre de GrĂ©vy et le zĂšbre de montagne. Ils vivent dans diverses rĂ©gion... Lire lâarticleVoir aussibaleineĂ©chidnĂ©hibernationmarsupialornithorynquepoils et cheveuxvertĂ©brĂ©herbivoresthermorĂ©gulationcarnivore, rĂ©gimeterritoire, Ă©thologieomnivoresdomesticationtĂ©trapodescomportement animaltempĂ©rature corporelleanimal et classification en zoologiehomĂ©othermie
Apropos des Kuhlia, pour ces 3 espĂšces lĂ , en eau douce, mĂȘme si la derniĂšre K. munda (dont la photo ne s'est pas affichĂ©e !) ne se rencontre vraiment que trĂšs en aval et au niveau des embouchures. A noter que dans ce genre, d'autres espĂšces sont typiquement et uniquement marines (K. mugil Ă©tant surement la plus connue).
"Le problĂšme des rapports entre langage et culture est un des plus compliquĂ©s qui soient. On peut d'abord traiter le langage comme un produit de la culture une langue, en usage dans une sociĂ©tĂ©, reflĂšte la culture gĂ©nĂ©rale de la population. Mais en un autre sens, le langage est une partie de la culture ; il constitue un de ses Ă©lĂ©ments, parmi d'autres. Rappelons-nous la dĂ©finition cĂ©lĂšbre de Tylor [1], pour qui la culture est un ensemble complexe comprenant l'outillage, les institutions, les croyances, les coutumes et aussi, bien entendu, la langue. Selon le point de vue auquel on se place, les problĂšmes posĂ©s ne sont pas les mĂȘmes. Mais ce n'est pas tout on peut aussi traiter le langage comme condition de la culture, et Ă un double titre diachronique [2] puisque c'est surtout au moyen du langage que l'individu acquiert la culture de son groupe ; on instruit, on Ă©duque l'enfant par la parole ; on le gronde, on le flatte avec des mots. En se plaçant Ă un point de vue plus thĂ©orique, le langage apparaĂźt aussi comme condition de la culture, dans la mesure oĂč cette derniĂšre possĂšde une architecture similaire Ă celle du langage. Une et l'autre s'Ă©difient au moyen d'oppositions et de corrĂ©lations, autrement dit, de relations logiques. Si bien qu'on peut considĂ©rer le langage comme une fondation, destinĂ©e Ă recevoir les structures plus complexes parfois, mais du mĂȘme type que les siennes, qui correspondent Ă la culture envisagĂ©e sous diffĂ©rents aspects." Claude LĂ©vi-Strauss, Linguistique et anthropologie » 1953, in Anthropologie structurale, Ăd. Plon, 1958, p. 78-79. [1] Edward Burnett Tylor ethnologue britannique 1832-1917. [2] Du point de vue de l'Ă©volution dans le temps. "Le langage est une partie de la culture, Ă plusieurs titres ; d'abord parce que le langage est l'une ce ces aptitudes ou habitudes que nous recevons de la tradition externe ; en second lieu parce que le langage est l'instrument essentiel, le moyen privilĂ©giĂ© par lequel nous nous assimilons la culture de notre groupe. [âŠ] Un enfant apprend sa culture parce qu'on lui parle on le rĂ©primande, on l'exhorte, et tout cela se fait avec des mots ; enfin et surtout, parce que le langage est la plus parfaite de toutes les manifestations d'ordre culturel qui forment, Ă un titre ou Ă l'autre, des systĂšmes et si nous voulons comprendre ce que c'est que l'art, la religion, le droit, peut-ĂȘtre mĂȘme la cuisine ou les rĂšgles de politesse, il faut les concevoir comme des codes formĂ©s par l'articulation de signes, sur le modĂšle de la communication linguistique". Georges Charbonnier, Entretiens avec Claude LĂ©vi-Strauss, Librairie Plon, Paris 1969. "Georges CHARBONNIER. - Quel est le signe que l'on admet comme reprĂ©sentatif de la culture? Le signe le plus humble ? Claude LĂVI-STRAUSS. - Pendant trĂšs longtemps, on a pensĂ© et beaucoup d'ethnologues pensent peut-ĂȘtre encore que c'est l'homme comme homo faber, fabricateur d'outils, en voyant dans ce caractĂšre la marque mĂȘme de la culture. J'avoue que je ne suis pas d'accord et que l'un de mes buts essentiels a toujours Ă©tĂ© de placer la ligne de dĂ©marcation entre culture et nature, non dansl'outillage, mais dans le langage articulĂ©. C'est lĂ vraiment que le saut se fait ; supposez que nous rencontrions, sur une planĂšte inconnue, des ĂȘtres vivants qui fabriquent des outils, nous ne serions pas sĂ»rs pour autant qu'ils relĂšvent de l'ordre de l'humanitĂ©. En vĂ©ritĂ©, nous en rencontrons sur notre globe, puisque certains animaux sont capables, jusqu'Ă un certain point, de fabriquer des outils ou des Ă©bauches d'outils. Pourtant, nous ne croyons pas qu'ils aient accompli le passage de la nature Ă la culture. [...] Je pense que tout problĂšme est de langage, nous le disions pour l'art. Le langage rĂ©apparaĂźt comme le fait culturel par excellence, et cela Ă plusieurs titres ; d'abord parce que le langage est une partie de la culture, l'une de ces aptitudes ou habitudes que nous recevons de la tradition externe ; en second lieu, parce que le langage est l'instrument essentiel, le moyen privilĂ©giĂ© par lequel nous nous assimilons la culture de notre groupe... un enfant apprend sa culture parce qu'on lui parle ; on le rĂ©primande, on l'exhorte, et tout cela se fait avec des mots ; enfin et surtout, parce que le langage est la plus parfaite de toutes les manifestations d'ordre culturel qui forment, Ă un titre ou Ă l'autre, des systĂšmes, et si nous voulons comprendre ce que c'est que l'art, la religion, le droit, peut-ĂȘtre mĂȘme la cuisine ou les rĂšgles de la politesse, il faut les concevoir comme des codes formĂ©s par l'articulation de signes, sur le modĂšle de la communication linguistique." Georges Charbonnier, Entretiens avec LĂ©vi-Strauss 1961, Ăd. 10/18, 1969, p. 182-184. "En posant l'homme dans sa relation avec la nature ou dans sa relation avec l'homme, par le truchement du langage, nous posons la sociĂ©tĂ©. Cela n'est pas coĂŻncidence historique mais enchaĂźnement nĂ©cessaire. Car le langage se rĂ©alise toujours dans une langue, dans une structure linguistique dĂ©finie et particuliĂšre, insĂ©parable d'une sociĂ©tĂ© dĂ©finie et particuliĂšre. Langue et sociĂ©tĂ© ne se conçoivent pas l'une sans l'autre. L'une et l'autre sont donnĂ©es. Mais aussi l'une et l'autre sont apprises par l'ĂȘtre humain, qui n'en possĂšde pas la connaissance innĂ©e. L'enfant naĂźt et se dĂ©veloppe dans la sociĂ©tĂ© des hommes. Ce sont des humains adultes, ses parents, qui lui inculquent l'usage de la parole. L'acquisition du langage est une expĂ©rience qui va de pair chez l'enfant avec la formation du symbole et la construction de l'objet. Il apprend les choses par leur nom ; il dĂ©couvre que tout a un nom et que d'apprendre les noms lui donne la disposition des choses. Mais il dĂ©couvre aussi qu'il a lui-mĂȘme un nom et que par lĂ il communique avec son entourage. Ainsi s'Ă©veille en lui la conscience du milieu social oĂč il baigne et qui façonnera peu Ă peu son esprit par l'intermĂ©diaire du langage. Ă mesure qu'il devient capable d'opĂ©rations intellectuelles plus complexes, il est intĂ©grĂ© Ă la culture qui l'environne. J'appelle culture le milieu humain, tout ce qui, par-delĂ l'accomplissement des fonctions biologiques, donne Ă la vie et Ă l'activitĂ© humaine forme, sens et contenu. La culture est inhĂ©rente Ă la sociĂ©tĂ© des hommes, quel que soit le niveau de civilisation. Elle consiste en une foule de notions et de prescriptions, aussi en des interdits spĂ©cifiques; ce qu'une culture interdit la caractĂ©rise au moins autant que ce qu'elle prescrit. Le monde animal ne connaĂźt pas de prohibition. Or, ce phĂ©nomĂšne humain, la culture, est un phĂ©nomĂšne entiĂšrement symbolique. La culture se dĂ©finit comme un ensemble trĂšs complexe de reprĂ©sentations, organisĂ©es par un code de relations et de valeurs traditions, religion, lois, politique, Ă©thique, arts, tout cela dont l'homme, oĂč qu'il naisse, sera imprĂ©gnĂ© dans sa conscience la plus profonde et qui dirigera son comportement dans toutes les formes de son activitĂ©, qu'est-ce donc sinon un univers de symboles intĂ©grĂ©s en une structure spĂ©cifique et que le langage manifeste et transmet ? Par la langue, l'homme assimile la culture, la perpĂ©tue ou la transforme. Or comme chaque langue, chaque culture met en Ćuvre un appareil spĂ©cifique de symboles en lequel s'identifie chaque sociĂ©tĂ©. La diversitĂ© des langues, la diversitĂ© des cultures, leurs changements, font apparaĂźtre la nature conventionnelle du symbolisme qui les articule. C'est en dĂ©finitive le symbole qui noue ce lien vivant entre l'homme, la langue et la culture." Ămile BenvĂ©niste, ProblĂšmes de linguistique gĂ©nĂ©rale, t. I, Ăd. Gallimard, 1966, p. 29-30. "DĂšs qu'il y a parole, il y a sociĂ©tĂ©, c'est-Ă -dire la mise en Ćuvre par un groupe d'individu d'actions coordonnĂ©es. DiffĂ©renciĂ©es et planifiĂ©es, en vue de se reprĂ©senter ou d'intervenir sur le monde, sur le groupe et sur lui-mĂȘme. La spĂ©cificitĂ© de l'homme, Ă la diffĂ©rence des animaux, est qu'il est obligĂ© de faire sociĂ©tĂ© », qu'il lui faut faire un effort, un travail, une intervention dĂ©libĂ©rĂ©e pour maintenir une cohĂ©sion sociale. Les sociĂ©tĂ©s humaines ont cette particularitĂ© de se dĂ©liter assez vite si le lien social n'est pas entretenu. Ce n'est pas le cas des sociĂ©tĂ©s animales ». La diffĂ©rence est essentielle. La sociĂ©tĂ© animale tient debout tant que ses membres observent les registres comportementaux propres Ă l'espĂšce. MĂȘme si l'animal, parce qu'il est un ĂȘtre vivant et non une machine, accĂšde Ă sa maniĂšre Ă certaines formes de conscience, il ne connaĂźt ni la violence que le lion mange la gazelle n'est pas en soi une violence, ni la guerre civile, ni la guerre entre espĂšces. Ă 'intĂ©rieur d'une mĂȘme espĂšce, les registres comportementaux varient peu selon les groupes, et les membres qui les composent interprĂštent ces registres de façon trĂšs peu individualisĂ©e. En somme, les animaux ne connaissent ni la sociĂ©tĂ©, ni l'individu, mais plutĂŽt la communautĂ© de l'instinct. Comme le rappelle Gusdorf, l'animal ne connaĂźt pas le signe, mais le signal seulement, c'est-Ă -dire la rĂ©action conditionnelle Ă une situation reconnue dans sa forme globale, mais non analysĂ©e dans son dĂ©tail. Sa conduite vise l'adaptation Ă une prĂ©sence concrĂšte Ă laquelle il adhĂšre par ses besoins, ses tendances en Ă©veil, seuls chiffres pour lui, seuls Ă©lĂ©ments d'intelligibilitĂ© offerts par un Ă©vĂ©nement qu'il ne domine pas, auquel il participe »[1]. L'animal, donc, ne parle pas. Et s'il ne parle pas, pour le dire autrement, c'est qu'il n'a tout simplement rien Ă dire. La parole est bien l'axe d'une discontinuitĂ© radicale entre l'animal et l'homme." Philippe Breton, Ăloge de la parole, 2003, La DĂ©couverte / Poche, 2007, p. 102. [1] Georges Gusdorf, La parole, PUF, Paris, 1952, p. 10. Retour au menu sur le langage Retour au menu sur la culture Date de crĂ©ation 27/07/2007 1517 DerniĂšre modification 09/02/2021 1443 CatĂ©gorie Page lue 4029 fois Imprimer l'article
nutrition(bas latin nutritio, -onis). Nutrition animale Consulter aussi dans le dictionnaire : nutrition Cet article fait partie du dossier consacré à la nutrition.. Pour avoir une vue d'ensemble sur la nutrition, consultez en priorité les articles suivants du dossier en cliquant sur celui de votre choix : . nutrition; aliment; alimentation; appareil digestif
Programme officiel de la classe de seconde BO spĂ©cial n°4 24 avril 2010. Par Lydie, Professeur de SVT Chap 1 La biodiversitĂ© rĂ©sultat et Ă©tape de lâĂ©volution La biodiversitĂ© est Ă la fois la diversitĂ© des Ă©cosystĂšmes, la diversitĂ© des espĂšces et la diversitĂ© gĂ©nĂ©tique au sein des espĂšces. LâĂ©tat actuel de la biodiversitĂ© correspond Ă une Ă©tape de lâhistoire du monde vivant les espĂšces actuelles reprĂ©sentent une infime partie du total des espĂšces ayant existĂ© depuis les dĂ©buts de la vie. Au sein de la biodiversitĂ©, des parentĂ©s existent qui fondent les groupes dâĂȘtres vivants. Ainsi, les vertĂ©brĂ©s ont une organisation commune. Les parentĂ©s dâorganisation des espĂšces dâun groupe suggĂšrent quâelles partagent toutes un ancĂȘtre commun. La diversitĂ© des allĂšles est lâun des aspects de la biodiversitĂ©. La dĂ©rive gĂ©nĂ©tique est une modification alĂ©atoire de la diversitĂ© des allĂšles. Elle se produit de façon plus marquĂ©e lorsque lâeffectif de la population est faible. La sĂ©lection naturelle et la dĂ©rive gĂ©nĂ©tique peuvent conduire Ă lâapparition de nouvelles espĂšces. Quâest ce que la biodiversitĂ© ? La biodiversitĂ© est la diversitĂ© du vivant . Elle est Ă la fois la diversitĂ© âș des Ă©cosystĂšmes Ă la surface de notre planĂšte Ex 1 âș des espĂšces Ex 2 âș gĂ©nĂ©tique au sein dâune mĂȘme espĂšce Ex 3 Exemple 1 La biodiversitĂ© sur la planĂšte Une mangrove au brĂ©sil DĂ©sert de Californie La banquise de l'antartique - BarriĂšre de Corail Savane africaine - Un lac canadien - Exemple 2 La biodiversitĂ© des espĂšces Une abeille qui butine un pissenlit Apis millifera sur un Taraxacum officinale - ElĂ©phant dâAfrique Loxondonta - Exemple 3 La biodiversitĂ© Ă lâintĂ©rieur dâune mĂȘme espĂšce Les tomates Solanum lycopersicum Les escargots des haies Cepaea nemoralis - SVT 2e Belin 2010, p. 66 Notion 1 La biodiversitĂ© au fil du temps Une forĂȘt du carbonifĂšre reconstitution. Il y a 300 Ma le milieu terrestre Ă©tait dominĂ© par des groupes aujourdâhui rĂ©duits ou disparus. CrĂ©dit image LA QUESTION Les paysages anciens reconstituĂ©s nous montrent que ceux-ci Ă©voluent au fil du temps ⊠mais comment lâexpliquer ? Le graphe reprĂ©sente le nombre de taxons* appartenant aux grands groupes de vĂ©gĂ©taux terrestres depuis 245 Ma. La largeur dâune bande est proportionnelle au nombre de taxons prĂ©sents Ă un moment donnĂ©. On peut ainsi y lire que les prĂȘles et les fougĂšres sont de trĂšs vieux taxons qui existent encore aujourdâhui. Par ailleurs les fougĂšres Ă graines et les Cycadales dont on retrouve des fossiles , se sont Ă©teintes au crĂ©tacĂ© il y a 70Ma environ. Les plantes Ă fleurs actuelles angiospermes ne sont apparues quâil y a environ 130 Ma. Image Livre SVT 2e, Hatier 2010 p. 18 *Taxon ensemble dâĂȘtres vivants ayant des caractĂ©ristiques communes, ici chaque couleur correspond Ă un taxon LA RĂPONSE VoilĂ pourquoi les paysages changent au fil du temps câest parce que les espĂšces changent. JE RETIENS LâĂ©tat actuel de la biodiversitĂ© ne reprĂ©sente donc quâune Ă©tape de lâhistoire du monde vivant. En effet au cours de lâhistoire de la vie , des espĂšces sont apparues, dâautres ont disparu souvent sous lâeffet de lâenvironnement. câest la sĂ©lection naturelle. Les espĂšces actuelles ne reprĂ©sentent donc quâun nombre infime des espĂšces ayant existĂ©. Un exemple ? Voici lâexemple de la disparition du mammouth. Livre 2nd Hatier SVT 2010 Ici, les cartes illustrent le fait que les steppes herbeuses, principal habitat des mammouth ,sâest considĂ©rablement rĂ©duis en 15 000 ans. On peut relier ce changement de vĂ©gĂ©tation aux variations du climat ici un rĂ©chauffement voir tempĂ©ratures moyennes. De ce fait les populations de mammouth ont progressivement migrĂ© vers le nord puis ont disparu. Notion 2 La biodiversitĂ© et lâaction de lâhomme JE RETIENS Si on gĂ©nĂ©ralise Ă lâensemble de la planĂšte, on peut considĂ©rer que lâaction de lâ homme modifie la biodiversitĂ© par lâutilisation de pesticides, de dĂ©sherbants pour lâagriculture intensive etc⊠par la dĂ©forestation par lâutilisation de produits polluants produits chimiques toxiques par la pĂȘche intensive par les modifications climatiques quâil entraĂźne rĂ©chauffement Lâaction principale est la rĂ©duction du nombre dâespĂšces diffĂ©rentes diminution de la biodiversitĂ© spĂ©cifique = EROSION de la BIODIVERSITE et le taux dâextinction des espĂšces est plus Ă©levĂ© que le taux dâextinction naturel. Quâont produit les crises au cours du temps? Quels sont les mĂ©canismes qui conduisent Ă lâĂ©volution de la biodiversitĂ© ? Image tirĂ©e du film LâĂąge de glace 5 Blue Sky et century fox Les deux mĂ©canismes responsables de lâĂ©volution de la biodiversitĂ© sont Interviews tirĂ©es du livre SVT Belin2Nd 2010, nouvelle Ă©dition La sĂ©lection naturelle et la dĂ©rive gĂ©nĂ©tique Afin de mieux comprendre la sĂ©lection naturelle, voici un exemple SVT Belin2Nd 2010 La coloration du pelage des souris est contĂŽlĂ©es par diffĂ©rents gĂšnes, mais lâun dâentre eux est particuliĂšrement important. On connait deux allĂšles de ce gĂšne, D et d. LâallĂšle D conduit Ă la formation dâun pelage foncĂ©, lâallĂšle d Ă la formation dâun pelage clair. on sait que lâallĂšle D est issu de lâallĂšle d par mutation. On constate dans le graphique une proportion plus Ă©levĂ©e de souris claire sur sol clair et de souris sombre sur sol sombre. GrĂące aux informations concernant le grand hibou Ă corne, on suppose que les souris claires sur sol sombre sont plus facilement dĂ©tectables par le hibou, elles auront une chance de survie plus faible sur ce type de sol mais sur sol clair , ce sera lâinverse. Ainsi, câest lâaction prĂ©datrice du hibou qui va influencer le pourcentage de souris claires ou sombre. Cette action sâappelle la sĂ©lection naturelle. UN JEU ! Si tu veux jouer pour comprendre ce quâest la dĂ©rive gĂ©nĂ©tique ou la variation au hasard des reproduction, tu peux jouer avec le logiciel dĂ©rive-tirage-boule pour la modĂ©liser Principe de la modĂ©lisation Tu imagines que les boules rouges reprĂ©sentent des guppies oranges et que les boules bleus reprĂ©sentent des guppies bleus Tu rĂšgles le nombre de couleurs sur 2 et le nombre total de poissons dans lâaquarium Commence par 10 poissons, puis fais avec 50 poissons Coche Autoriser les mutations Clique ensuite sur lancer le modĂšle , tirer une boule , et tout tirer Puis gĂ©nĂ©ration suivante Tu vois Ă©voluer les couleurs des poissons au fur et Ă mesure du temps. Pour un mĂȘme effectif, lâĂ©volution ne se fera jamais de la mĂȘme maniĂšre! Lancer le programme nvelle fenĂȘtre Quelle diffĂ©rence observes-tu entre la grande ou la petite population de poisson? Source A RETENIR La biodiversitĂ© Ă©volue au cours du temps, on appelle ce phĂ©nomĂšne lâĂ©volution. Ces variations gĂ©nĂ©tiques peuvent se faire au hasard, on parle alors de dĂ©rive gĂ©nĂ©tique. Dâune gĂ©nĂ©ration sur lâautre, certains allĂšles sont transmis et pas dâautres sous le seul effet du hasard. Cette dĂ©rive gĂ©nĂ©tique est plus marquĂ©e sur des populations Ă faible effectif. Ainsi une population qui se retrouve sĂ©parĂ©e en deux populations plus petites Ă©voluera de maniĂšre diffĂ©rente . On obtiendra plus tard deux populations bien distinctes au niveau gĂ©nĂ©tique. Une population Ă©volue aussi sous lâeffet de la sĂ©lection naturelle. Cette sĂ©lection correspond Ă une pression exercĂ©e par lâenvironnement climat, prĂ©dateurâŠ. Les ĂȘtres vivants dont les allĂšles sont favorables par rapport Ă lâenvironnement auront une plus grande chance de survie Navigation dans le Cours . EN VIDEO Ca pourrait aussi vous intĂ©resser
Xmhiq. 3rceq0h4n8.pages.dev/5573rceq0h4n8.pages.dev/1283rceq0h4n8.pages.dev/4373rceq0h4n8.pages.dev/1213rceq0h4n8.pages.dev/2913rceq0h4n8.pages.dev/3173rceq0h4n8.pages.dev/343rceq0h4n8.pages.dev/76
ensemble d espĂšce dont fait partie la gazelle